Science
accorde une priorité: la connaissance. Il est en cours, liés entre eux
et d'accumulation. Malheureusement, dans le domaine de la biologie doit
faire face à un retard significatif par rapport aux autres sciences. Cet
écart se comble rapidement en raison d'un intérêt général qui a même
contraint les flux de changements trop rapides de l'environnement qui nous
entoure les changements climatiques à l'échelle mondiale sont un des témoignages
sans équivoque. Comprendre l'évolution de l'environnement naturel de
notre planète, d'analyser et de comprendre ce qui s'est passé au cours
des deux derniers siècles, et quel impact cela a été, est et aura sur
le futur proche est la préoccupation la plus urgente que l'homme moderne
doit résoudre. L'évolution a toujours obéi à des rythmes et le
calendrier dicté par les conditions entourant le grand nombre d'écosystèmes
locaux, où les animaux, les plantes et les micro-organismes interagissent
et sont en concurrence pour une meilleure adaptation aux conditions
environnantes et dans certaines limites, de les modifier. Ces changements
ne se produisent jamais au cours de la vie de l'organisme individuel, mais
il leur faut un certain temps pour permettre que les informations collectées
et transférées à l'échelle des descendants d'adaptabilité pour
produire les changements nécessaires pour assurer la survie de l'espèce
de référence. Biologie et l'écologie suppose, par conséquent, un des
liens solides interdisciplinaire. Les mécanismes écologiques et évolutifs
deviennent étroitement interdépendants. L'homme appartient au règne
animal, la classe des mammifères, l'ordre des primates, la famille des
hominidés, le genre Homo, l'espèce Homo sapiens, il ne peut donc échapper
à la grande loi de la «sous-tendent la bio-évolution écologique.
Tous les organismes, y compris les humains, agir sur deux fronts: l'un
appartient à l'existence individuelle, l'autre l'évolution de l'espèce.
Les informations contenues dans le génome restent inchangés dans la vie
de l'individu, mais dans le temps, alors ce message va changer dans la
descendance et a donné de nouvelles instructions pour l'adaptation des
espèces à l'écho-conditions de l'environnement qui l'entoure. Aucun
animal est conscient de cela, sinon l'homme qui, grâce à son évolution
culturelle a pris note bien que récemment. Le processus d'adaptation et
le ralentissement de long seulement parce que le changement de l'environnement,
ils sont également soumis à de longues et lentes comme des événements
imprévisibles catastrophiques qui ont eu lieu et déterminer le temps des
dinosaures à l'extinction. Peut-être une énorme météorite ou une éruption
volcanique inimaginables produit un changement soudain dans les conditions
environnementales qui ont empêché les adaptations à l'évolution de
nombreuses espèces. Malheureusement, l'animal humain en protéines au
cours de l'évolution, contrairement aux autres animaux, lui ont permis de
développer le concept de l'avenir, il a constamment mis en oeuvre toutes
les stratégies possibles pour améliorer la qualité de vie pour lui et
pour descendants. Prowler insatiable d'énergie au service de son égoïsme,
il a poursuivi de façon graduelle et sans discrimination, l'avènement de
l'industrialisation, la ruée et la conquête du bien-être, la création
d'une industrialisation exagérée dans la production de tout et plus
encore, bien que pas uniformément distribuées ( mais c'est une autre
histoire), en réalisant des émissions de gaz à effet de serre dans
l'atmosphère qui provoque des mutations dans l'atmosphère à des taux si
vite vers le point de non-retour qui ne permettra pas les grandes lois de
la biologie de se conformer à ces horaires. Une autre grande extinction
se profile comme les dinosaures?
De
bonne source:
"Avec
la naissance de l' industrialisation commence aussi la destabilisation
climatique, et qui a malheureusementconnu
récemment uneforte
progression. Au milieu du 19ème siècle le bioxyde de carbone dans l'
atmosphère s' élevaitpresque
à 280 particules par million au milieu du 19ème siècle, et est a 360
particules par million seulement 100 ans après.
De
1950 à 1999, seulement 11 pays ont produit 530, 3 milliards de tonnes de
bioxyde de carbone, imputables comme suit: les États Unis avec 186, 1
milliard, l' Union Européenne avec 127, 8, la Russie avec 68, 4, la Chine
avec 57, 6, l' Ukraine avec 21, 7, l' Inde avec 15, 5, le Canada avec 14,
9, la Pologne avec 14, 4, l' Afrique du Sud avec 8, 5, le Mexique avec 7,
8 et l' Australie avec 7, 6.
Quand'
on si augmente le bioxyde de carbone dans l' atmosphère, les molécules
emettent plus de chaleur et favorisent l' élévation de la température
globale. Le méthane (environ 10 % du méthane que finit dans l' atmosphère
provient du fourrages de boeufs, élevés industriellement) et l' azote
deviennent un cocktail catastrophique avec les autres gaz de serre. Le
premier effet de cette mixture et de ses conséquences est l' inévitable
destabilisation climatique.Un
rapport de 1994, l' IPPC (Intergovernmental Panel on Climate Change)
remarque que les émissions produites par la combustion du carbone et du pétrole
ont emis une excessive quantité de chaleur solaire et que les préoccupantes
altérations relevées concernent l' élevation des hautestempératures, dessiccités
extrêmes et des inondations catastrophiques dans de nombreuses parties du
monde, avec les conséquentes modifications des entiers écosystèmes et
avec l' apparition d' epidémiologies et de potentielles pandémies.
L'
IPCC remarque dans le rapport Climate Change 2001, le résultat de la
collaboration biennale de plus que 1000 scientifiques, que la température
de la planète continuera à augmenter d' au moins à 5, 8 dégres au
cours de ce siècle. Cette valeur est quand même supérieure à plus de
100 % par rapport à celle prévue dans le rapport de 1985 du même groupe
de scientifiques. En conclusion l' accélération a été 15 ans plus
rapide que prévue. Et si ces 5, 8 dégres continuent à augmenter - ils
subiront la même accélération imprevidible par rapport àla prévision? Dejà cette valeur provoquera des impacts désastreux
sur les écosystèmes: inondations, éboulements, cyclones, avec les conséquentes
catastrophes, carences hydriques, augmentation et développement de
nouvelles maladies infectieuses, enfin, bouleversements avec des visions
apocalyptiques qui causeront des dommages de milliards et milliards de
dollars. The Global Common Institute a évalué que les dommages provoqués
par le changement climatique pourraient s' élever à 200 milliards de
Dollars d' ici l2005 et à 400 milliards Dollars d' ici 2012, mais en 2051
ils pourraient dépasser 20.000 milliards de dollars.
Les
terrains côtiers seront les premiers frappés par des désastres
climatiques à cause de l' élévation du niveau de la mer: des cités
entières et de petits états insulaires avec toute leur population
pourraient être dévastés par des ouragans, des violents tempêtes et
naturellement le niveau de la mer élévé. La température de la surface
marine de 26 ou 27 dégres est une des conditions par laquelle se forment
les cyclones tropicaux. L' échauffement global élève inévitablement la
température de la mer et entraîne la formation d' ouragans destructifs.
Les cyclones représentent un des désastres les plus destructifs que l'
homme devra affronter. À l' époque, les cyclones étaient considérés
comme des évenements rares, mais aujourd' hui ils arrivent le plus
souvent à cause de la crise écologique provoquée par l' homme et déchaînée
par la combinaison de changement climatique, industrialisation et déforestation.
Grâce à ces agents, la vitesse moyenne des cyclones est passée de 73 km
/ h au milieu du siècle dernier à260
km /h aujourd' hui. La fréquence des cyclons donnera de l' essor plus s'
èlevera la température de la mer.
Par
la suite, seulement quelques exemples de plus que 100 calamités qui ont
eu lieu entre 1995 et 1999 àcause
des changements climatiques: en 1995, une inondation au Bangladesh frappe
presque 10 millions de personnes avec plus de 70 morts. Encore en 1995, l'
île de St. Thomas a été dévastée par les ouragans. Simultanément en
Europe, les Pays - Bas et la France sont frappés par des alluvions jamais
vu auparavant. Encore en 1995 en Espagne du Sud, à Cadix, il y a la plus
forte siccité, en Russie on atteint les 34 dégres et en Inde du Nord la
température torride arrive à 45 dégres et tue 300 personnes. À Chicago
meurent plus de 500 personnes à cause des températures éllevées. La
Grande Bretagne remarque l' été le plus chaud depuis 350 ans et la
saison la plus sèche depuis 1721. Au nord - est du Brésil on souffre de
la très mauvaise sécheresse du siècle et en Juin les incendies brûlentdes forêts entières au Canada, environ 100.000 hectares par jour.
En Mongolie brûlent également 280.000 hectares de forêts et de pâturages.
2000
personnes meurent en 1996 dans la région d' Andhra Pradesh en Inde à
cause du cylone le plus intense du siècle.Encore en 1996 meurent 600 personnes en Angola à cause de typhons
et en Corée du Nord 5 millions de personnes perdent tout à cause des
inondations inattendues. La plus mauvaise sécheresse du siècle dévaste
des millions d' hectares de froment en diminuant le stock de blé des États
- Unis, atteignantle niveau
le plus bas des derniers 50 ans. Toujours àcause de la sécheresseil
y a des crises alimentaires et hydriques dans les régions indiennes de
Gujarat, du Rajasthan, de Madhya Pradesh, d' Orissa et de Chattisgarh.
En
1997 meurent 30 personnes à cause de pluies torrentielles aux Philippines
et 120.000 restent sans maisons. Une succession de froid et d' orages
cause des dommages s' élevant à 25 millions de dollars au nord - ouest
du Pacifique. Une inondation détruit 100.000 fermes en Bolivie. Le fleuve
Ohio dépasse le niveau hydrographique de 12 mètres causant la morte de
57 personnes etlaissant des
milliers de personnes le long de son bassin sans maison, en Indiana,
Kentucky, Ohio et West Virginia. L' inondation de Red River cause des
dommages de plus de 2 milliards dollars en Manitoba canadienne, au nord et
au sud du Dakota et dans une partie du Minnesota. Encore en 1997 les températures
d' hiver atteignent à 42 dégresàRio de Janeiro.
En
1998, au mois de Janvier, il pleut 13 litres au mètre carré en 14 heures,
dévastant plus de 800 kilomètres de routes et 60 ponts. Le mois après,
à l' Equateur, 3084 personnes s' sont infectées du cholèra, 108.000
personnes meurent à cause des inondations et 28.000 perdent leurs maisons.
La même année, les fleuves Juba et Shabeele débordent en tuant plus de
2000 personnes et des millions de bêtes dans la Corne d' Afrique. En 1998
une tornade de neige meurtrière passe sur les hauts plateaux de la Chine
occidentale: plusde 60.000
bergers des provinces de Qinghai etdu
Tibet perdent 750.000 bêtes, presque toutes leurs ressources alimentaires
et 48 personnes meurent. La chute de neige fut 4 fois plus intense que la
normale avec des températures atteignant j49 degrés au - dessous de zéro.
Le même mois beaucoup de rizières ont été devastées par les
inondations procurant une crise alimentaire pour plus de 10 millions de
laotiensqui risquent au
risque de mourir de sous - alimentation. Au Yémen, au mois de Juin de la
même année,330 personnes
meurent à cause de la pire inondation depuis 40 ans. L' inondation,
depuis, transformée en eau stagnante, provoque une épidemie de malaria
qui infecte 168.000 persones à la suite de laquelle meurent 30 personnes.
Au
Mexique, plus de 13.000 incendies dévastent des terrains entiers. À
Mexico sonne l' alerte ambientale à cause des morts et des dévastations.
Le Texas, situé aussi dans le Golfe du Mexique, déclare l' état d'
alarme sanitaire, à cause des nuages de fumée. En Indonésie et en
Malaisie la fumée provoque des situations d' urgence: on ferme des aéroports
et des écoles; encore à cause de la furmée et de la mauvaise visibilité,
deux navires entrent en collision à Malaccaet 29 personnes meurent; 234 personnes meurent dans un accident d'
avion; et on compte aussi des centaines de victimes à cause d' accidents
de la route.
En
1999 un cyclone meurtrierdévaste
la partie est de l' État Orissa en Inde de l' Est: la cause du dommage s'
éleve à prèsque 2 millions de maisons et 730.000 hectares de rizières
sur 12 terrains côtiers. 80 % de palmiers cocotiers ont été arrachés
ou devastés irrémédiablement et toutes les plantations de papayers et
de bananiers sont devastées. Plus de 300.000 bêtes meurent, plus de
1.500 pêcheurs perdent tout et plus de 15.000 étangs ont été contaminés
par la salinité. Il n' y a pas d' évaluation officielle, mais il y aura
presque 20.000 morts.
Malheuresement
nous avons aussi des calamités en 2000, 2001, 2002 et 2003: on remarque
une constante augmentation d' événements dramatiques attribuables à des
mutations climatiques: cyclones, ouragans, sécheresses et vastes
incendies, tornades de neige et températures polaires engendre
destruction et mort dans le monde entier, jusqu' à causer presque 35.000
morts en Europe à cause de la chaleur de l' été 2003. La France et l'
Italie payent un tribut très haut à des êtres humains, pour la plupart
âgés.
Le
changement climatique est le résultat de gaz produits par la pollution de
l' "homo sapiens tecnologicus". Ce gaz augmente le nombre des
inondations et des cyclones, produit des sécheresses et des périodes très
chaudes, mais attaque et réduit aussi les calottes polaires et les
glaciers inexorablement. La couverture de neige dans l' hémisphère nord
s' est réduite de plus de 10% depuis les 30 dernierès années.
À
la suite des changements climatiques, la température du globe a augmenté
de presque 1 degré par rapport au siècle dernier.Le siècle passé,
depuis 1983 se révéle comme les 12 ans les plus chauds et les années
les plus chaudes sont les 10 dernières années. À partir de 1980 la température
moyenne a augmenté 4 degrés en Alaska et en Sibérie. Les calottes se
forment plus tard et se réduisent prématurément en fragments qui se réduisent
inexorablement. Pendant les 40 derniers ans on remarque la diminution de
40 % de l' épaisseur de la glace marine éternelle des Terres Arctiques.
Les températures en hausse fondent aussi les glaces de montagne et les
glaces continentales. Entre 1961 et 1997 les glaces de montagne ont été
réduites à 400 kilomètres cube. La chaleur, produite par l' effet gaz
de serre est responsable de la fonte de la glace antartique et
groenlandaise de 8000 joules et de la glace en montagne de 1100 joules.
Les
glaces se réduisent dans les Alpes, en Alaska et dans l' État de
Washington. Le Kilimandjaro (?), la montagne la plus haute de l' Afrique,
a perduplus de 75 % de la
calotte glaciale. Seulement 2 de 6 glaces vénézuéliennes sont encore
visibles.Malheureusement on a prévu irrémédiablement la fonte du
Glacier National Park (Montana) d' ici le 2070. La glace de Gangotri qui
alimente la fleuve de Gange recule de 5 mètres par an. Seulement la fonte
des glacesqui nese trouvent pas dans les terrains polairs augmentera de 5 centimètres
le niveau de la mer.
L'
Intergovernmental Panel on Climate Change prévoit une augmentation
moyenne de la température globale de 1,5 à 6 dégres d' ici 2100. La
catastrophe globale apparaît inévitable. L' Aosis demande de réduire le
20 % les émissions du bioxyde de carbone par rapport à 1990 d'' ici
2005. L' Allemagne et la Grande Bretagne proposent une réduction de 10 %
d' ici le 2005 et de 15 % d' ici 2020. Les savants hollandais préféreraient
60 et 70 %.
Encore une fois de source certaine
Au bout de l' année 2003, l' année la plus chaude depuis l' histoire de l’ homme, l' Institut Océonographique "Woods Hole" publia une recherche que démontre que la salinité des mers polaires diminuit continûment, pendant que laquelle des mers tropicales augmente continuellement.
A part cela constata des changements radicaux des courants océaniques que règlent la stabilité du climat mondial. Pendant ce temps des effets plus ou moins extraordinaires et violents se sont manifestés un peu dans le monde entier.
Les scientifiques pensent que les changements actuels des courants du Golf dans le Nord du Océan Atlantique soient les changements les plus grands et les plus préoccupants qui ont été mesurés depuis l' invention des instruments appropriés.
La disparition du courant du Golf se développerait dans la plus grande catastrophe naturelle de l’histoire: aucun être vivant sur toute la superficie mondiale pourrait survivre, tout le monde serait impliqué et il n' y aurait rien zone sûre.
Le territoire, qui serait très vaste, et les conséquences présisteraient jusqu' à la disapparition du courant.
Nous pourrions rester intrigués dans ce piège climatique pour plusieurs des ans et certainement la terre ne logerait plus la vie comment elle avait fait une fois.
Les changements que se répètent sans arrêt font partie du changement normal climatique terrestre: il n’en a eu plusieurs en cours de l’histoire et dans les ultérieures 3 millions ans se sont répétés régulièrement.
L’émersion de l’ isthme de la terre de l' Amérique centrale modifia les fonds des courants de la mer, et ce fait, les changements des émissions de l' énergie solaire et des changements légères de la superficie terrestre formèrent depuis alors un clima plus ou moins stable.
Suivirent plusieurs périodes glaciaires, chacune de la durée de plus ou moins 100.000 ans, interrompues par des périodes interglaciaires de la durée de 10.000 - 15.000 ans, et toute l’histoire humaine s’ est développée entre le dernier troisième de la dernière période glaciaire.
La prochaine période glaciale devrait commencer quand les courants glaciaux termineront de porter l´eau chaud dans les régions polaires et quand la neige terminera de dégeler pour des étés suivants.
La conséquence serait l’augmentation de la réflexion de la planète, et de cette manière que favorisera la formation des glaciers d’une dimension gigantesque. Avant que ça se puisse vérifier, il y aura une chaleur extrême, suite par un changement violent des conditions météorologiques.
Nous sommes déjà arrivés à cette augmentation de la température en été 2003, quand sont été mesurées des températures qui ne sont mesurées pas encore précédemment et quand même le thermomètre dans l' Arctique a dépassé énormément la température normale.
Par conséquent de l’augmentation forte les températures des mers se formeront un cyclone apocalyptique qui activera ce processus du changement climatique - avec des effets inimaginables pour la survie des vivants sur le nôtre planète.
Sûrement il n' y aura aucun continent, aucune ville, chacun petit pays et aucune personne qui resterait indemne et la très mauvaise chose est que le changement du climat se pourrait manifester d'un moment à l’autre.
L’homme n’a pas des possibilités d’intervenir dans ces cycles que déterminent les périodes glaciaires et les périodes interglaciaires; mais un projet précis, défini par la Charte Constitutionnelle Mondiale pour la tutelle de la Démocratie Écologique pourrait diminuer l’influence des changements climatiques sur la civilisation et éventuellement diminuer la violence des catastrophes.
Mais malheureusement les gouvernements des differents pays ne sont pas capables de trouver une politique commune pour protéger la nature et pour diminuer les changements climatiques. Si le chefs du gouvernements s'ingénieraient de plus pour vérifier le Protocole de Kyoto, comme Canada par exemple, nous pourrions avoir une réduction des émissions CO2, particulièrement dans les pays instrualisés, parce qu’ici le contrôle est plus facile.
Ce defi s’adresse à tous, les industries, les gouvernements et chacun consommateur d’énergie: si cette décision était acceptée seulement de 20 % de citoyens européens, américains, japonais, et alors aussi les chinois - pour les moment les consommateurs plus grands d’énergie - les émissions mondiales de CO2 se réduirait tellement que le facteur humain avrait seulement une influence minimale sur le chauffage de la terre, et la même pourrait être tardée notablement.
Mais malheureusement est le contraire: l’engagement des chefs des gouvernements est mal, surtout lequel des États - Unis que représentent une position indifférente et agressive vers les changements climatiques, et propre maintenant, quand millions de personnes vivent dans une menace extrême.
Toutes les personnes qu’ignorent délibérément ce danger, ne seront seulement responsables pour la plus grande catastrophe écologique que se pourrait manifester d’un moment à l’autre, mais seront aussi responsables pour la fin de la civilisation humaine, veut dire, éventuellement la plus brave, la plus libre et la plus développée que l’homme a connu.
26.12.2004: un tremblement de terre et un tremblement de mer apocalyptiques ont dévastés une grande partie de l’Asie et toute la vie dans les territoires est frappée. Les effets de cet événement sont ainsi forts qu’ont déplacer l’île de Sumatra plus de 30 mètres et qu’il y a aussi des mutations dans l’axe terrestre. S’il y a une connexion entre cet événement et les autres mutations climatiques? Est trop tôt pour dire « oui », mais n’est pas trop tôt pour croire
«oui».
Finalement quelque chose change…. Conscience et connaissance augmentent pas à pas
2005 avec toutes ces catastrophes et millions de morts, confirme une autre fois l’aggravation dramatique du changement climatique, que conditionnent en manière exponentielle notre existence et l’existence de notre planète. Malheuresement en 2005 nous avons un record triste en ce qui concerne la quantité des tempêtes tropicales comme p. e. l’ ouragan Catherine, que a détruit quasi toute Orléans, et des fortes pluies en toute Europe. L’appel des scientistes s’occupe de plus en plus de cet argument.
Résulte une discipline nouvelle : géo-ingenieur où ingénieur de terre où climat. Cette discipline veut trouver des solutions – quelques – unes semblent pris de films science – fiction – pour rallenter l’ échauffement de la terre, ganant le temps pour sostituer l’ énergie nocive à l’ environnement avec des énergies moins nocives, comme p.e. la compagnie aérienne brésilienne, que a sostitué kérosène avec éthanol. En dehors de la volonté de faire quelque chose, est importante la bataille avec le temps de réaliser les nouveaux projets.
Pour diminuer les températures, comme dit le physicien Lowell Wood, on pourrait construire une parapluie énorme dans l’espace, formée de balles réflechissants, que volent dans la stratosphère où seraient fixés dans un orbital apte; ainsi on pourrait diminuer la force des rayons du soleil. La lumière solaire, qu' on filtre en cette manière a la même force comme la lumière solaire en un jour nuageux.
Où on peut construire des nuages : augmentant l’albédo, alors la quantité de la lumière, que reflète la terre dans l’espace. Le projet de Stephen Salter, géoingenieur à l’ Université Edinburgh, est de construire un platform, gigants nagants que doivent actionner avec de l’énergie des éoliennes des turbines, que pulvérisent l’eau de mer que favorisent la formation des nuages avec la condensation.
Ces nuages devraient diminuer des rayons de soleil et abaisser la température moyenne de la terre. Que pourraient être les conséquences de ces projets en plusieurs territoires du monde ? Il y a déjà des simulateurs actifs pour examiner les effets secondaires de ces projets.
Autres projets veulent combattre l' ennemi de climat no 1. : le Co2. L’ océanographe John Martin a osservé que la ferre augmente des algues, que sont microscopiquement petits et que absorbent le Co2 pour leur métabolisme ; c’ est pourquoi l’ enrichement des mers avec ferre portent à l’ absorption de grandes quantités du ferre travers ces algues. On peut absorber avec seulement 1 kg du ferre 100.000 kg Co2. Mais malheuresement ce traitement pourrait aussi attaquer la balance biologique formée par millions des ans, parce que ce type des algues pourrait augmenter en manière exagérée.
Planter des arbres, peut fonctionner bien pour quelques territoires, mais malheuresement pas pour tout le monde. Se nous constatons, que seulement un arbre que prend feu consume la même quantité de Co2, que a absorbé pendant toute sa vie. Alors, nous pouvons voir comme palliative est cette solution.
Klaus Lackner, physicien au centre pour "ingénieurs de la terre" à l’ Université de Columbia, propose des filtres que absorbent le Co2 directement de l’ air; filtres, enrichés avec hydroxyde de sodium où calcium, fameux d' absorber ce gaz. Un filtre, grand comme un television, pourrait absorber 25 tonnes de gaz. Mais pour absorber 30 milliards de tonnes Co2, que l’homme produit dans un an, combien des filtres on devrait réaliser ? Serait un entrepris cyclopique.
Roberto Bencini, géologique de l’ Institut Nationale pour Géologie et Vulcanologie, a expliqué que serait plus facile de absorber le Co2 sous la terre, comme on fait déjà dans quelque région dans des minières avec le gaz naturelle, et de ganer le même dans centrales termoélectriques où on absorbe le Co2 superflu, en manière compressée, dans profondes nappes acquifères.
Une autre minière en Canade injecte chaque jour 5000 tonnes de Co2 dans un gisement pétrolifère de ca. 1,6 km de profondité avec le double ventage de améliorer l' extraction de pétrole. Les études ont prouvé que dans ces minières le Co2 se autosigille, reagant avec des silicates, et que se transforme en des minérales que remplissent la porosité des roches. On croit que 99,999 % de Co2 restent ici pour 5000 ans où de plus.
On pourrait aussi emmagasiner le Co2 sous la mer, parce que resterait ici à cause de la pression.
Des projets extrêmes, oui, aussi futuristiques, mais montrent une grande initiative et phantasie pour la réparation des dommages, que a le component atropique, et pour la réstauration de la balance perturbée. Sont des dannes que – si on croit à des scientists – malheureusement ne sont plus réparables. Par conséquence les scientifiques prévoient l' extinction des plusieurs formes de vie en peu de temps.
Est absolument important qu' il y aurait des nouveaux et plus sévères valeurs pour les gaz travers le protocole de Kyoto, parce que les valeurs actuels ne bastent plus pour combattre des effets du climat, surtout que chaque nation doit seguir les valeurs nouveaux, surtout les Etats – Unis et la Chine, que vivent une période de croissance économique extrême, avec des extrêmes conséquences aussi pour la pollution de l’environnement.
Nous voyons l’échauffement de la terre chaque jour et ne passe pas un jour dans lequel les media ne parlent pas de ce phénomène. En fin il y a des scientifiques, qui examinent le climat et des effets catastrophiques des pollutions et qui ont constaté que ont augmenté dans les derniers 30 ans.
Il est temps que la conscience culturelle augmente, et huit huit, parce que sont des fondements pour un changement radical. L’homme doit faire part de ce procès se ne veut pas être puni avec la pain de mort.
Toujours en
2007,
la liste des désastres et les catastrophes écologiques a grandit presque devenu une normalité. Nous vivons passive et silencieuse, dans l'espoir de rester en dehors tout le monde. Si nous devions faire le bulletin de l'catastrophes qui ont frappé cette année, notre Terre risque de se répéter avec la seule exception à décrire de nouveaux paysages spectaculaires.
Elle pousse, cependant, la sensibilisation et la connaissance des problèmes et des risques liés à l'instabilité climatique dans l'opinion publique et les pouvoirs à tous les niveaux, même si celle-ci, nous pensons que les raisons sont à rechercher dans Choc Économie dans le capitalisme ou de catastrophe.
En Novembre 2007, l'ultimatum donné par un rapport de l'ONU
"Ou nous changer maintenant ou il y aura une catastrophe écologique de l'effet de serre!"
Pour Ban Ki-moon, secrétaire des Nations Unies, de concert avec la plupart des scientifiques dans le domaine, après avoir fait une exploration minutieuse de la forêt tropicale et de l'Antarctique a dit que les conséquences pour le réchauffement climatique en cours est déjà «un film de "Horreur".
En Espagne, à Valence, où l'organisme a rencontré des Nations Unies, ou plutôt le Comité intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) qui a remporté cette année le prix Nobel de la paix conjointement à l'ancien Vice President Al Gore pour son engagement et son action de sensibilisation sur les risques des changements climatiques, écrit et met en garde qu'il n'y a pas plus de temps.
En Novembre 2007, l'ultimatum donné par un rapport de l'ONU
Le GIEC est un comité scientifique formé en 1988 par deux organismes des Nations Unies, le monde météorologique mondiale (OMM) et le United Nations Environment Program (UNEP) afin d'étudier le réchauffement de la planète. Le périodique généralisée dall'Ipcc sont à la base des accords mondiaux tels que la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et le Protocole de Kyoto, qui met en oeuvre.
Les chiffres sont ceux qui sont connus dans le 4ème rapport: le niveau de la mer a augmenté au cours des 100 dernières années de 1 mètre et demi et continue de croître.
Les autres conséquences qui se réunira pour la progressive fonte des glaciers couvrira les grandes villes, principalement d'Asie, d'être irrémédiablement peut-être inondé avec des conséquences inimaginables, alors qu'en Afrique, d'ici à 2020, plus de 250 millions de personnes restent sans eau.
Un tiers des espèces de plantes et d'animaux sont menacées d'extinction dans le monde entier.
Partout dans le pays sont l'intensification des phénomènes extrêmes et des catastrophes qui vont changer la vie sur terre.
Ce rapport arrive quelques jours seulement après la conférence de Bali qui passera en revue le protocole de Kyoto, maintenant dépassé par les événements de précipitation.
Pour les scientifiques des Nations Unies n'est pas plus de place pour des discussions et des doutes. Nous devons agir immédiatement et de façon spectaculaire. D'ici à 2015 (et manquent seulement 8 ans) doit arrêter la croissance des émissions nocives, puis de réduire rapidement les conséquences qui peine déjà déclenché mai soudaine et irréversible.
Dans cette vision dramatique préconisé, il ya, heureusement, de plus en plus conscience de la nécessité de produire un changement. Même la Chine et l'Inde qui sont dans une phase de croissance semble inexorable plus sensibles aux effets de la pollution de contrôle alors que dans les États-Unis, Al Gore, avec sa conscience, a déchiré l'indifférence des affaires et de la production immédiatement réagi de manière efficace même si l'entreprise entrevu avec les ouvertures de nouveaux marchés pour les produits qui respectent l'environnement et sur la destruction de polluants, est la stratégie la plus appropriée pour produire un changement qui, entre les lignes, pourraient également enrichir ceux qui sont déjà riches et puissant. Bien que la richesse ne tombe pas à la pluie sur notre terre, l'épargne est au moins l'espoir que les générations futures puissent survivre en appréciant les fruits et la beauté de la terre, comme cela est arrivé à nos ancêtres pour des milliers et des milliers d'années.
Bali, avec un optimisme modéré.
La conférence de Bali qui a réuni des représentants du monde entier convoquée pour examiner et mettre à jour les limites des émissions de gaz à effet de serre à nouveau la réalité dramatique, a produit une souris à plusieurs reprises après avoir menacé de faire avorter.
Après 13 jours de pourparlers, la "feuille de route" de Bali a été approuvé par consensus par les délégués des 190 pays présents. Les États-Unis, enfin, tout en confirmant leur opposition à fixer des restrictions sur les émissions de gaz à effet de serre, ont ratifié l'accord, qui est désormais unanime, de parvenir à un nouvel accord.
L'accord prévoit une feuille de route pour négocier un nouvel accord sur les changements climatiques qui remplace une plus ambitieux du Protocole de Kyoto. Le «Kyoto 2», qui sera négocié au cours des deux prochaines années, sera signé à Copenhague en 2009. Le nouveau traité prend effet à compter de la fin de 2012.
Le pacte doit sortir par les nouvelles négociations devraient être obligatoires pour tous les pays à partir de 2013.
Un devoir citation de l'Australie, mieux vaut tard que jamais, à cette conférence de Bali a ratifié le Protocole de Kyoto.
Un autre devoir de citer: l'Italie, dont les émissions représentent un très supérieure aux limites établies par le Protocole, est le dernier en ligne pour lutter contre le changement climatique.
2008, année de la "20-20-20"
Feu vert par le Collège des commissaires de la Commission européenne du plan de lutte contre le changement climatique. Il s'agit d'un paquet de propositions législatives sur lesquelles le Conseil de l'UE avait déjà trouvé l'entente en Mars de l'année dernière, la fixation des objectifs définis par l'abréviation "20-20-20". C'est la réalisation de 20 pour cent de la production d'énergie à partir de sources renouvelables, l'amélioration de l'efficacité de 20 pour cent et à une réduction de 20 pour cent des émissions de dioxyde de carbone. Objectifs à atteindre avant la date de 2020. Dans le cas de l'Italie, permettra de réduire de 13% les émissions de C02 dans les zones non incluses dans le système d'échange d'émissions (ETS) et augmentera de 17% la consommation d'énergie provenant de sources renouvelables d'ici 2020 par rapport aux niveaux de 2005 . Maintenant, les commissaires ont de mieux définir ces objectifs, divisé en cinq différentes normes à laquelle est ajouté un document sur les aides d'État. Ainsi que devant le Parlement européen, le document doit passer l'examen des États membres. Bruxelles espère pouvoir approuver les mesures d'ici à 2008, mais M. Barroso a dit s'attendre à "négociations difficiles". Une anticipation de la dureté de l'affrontement que vous consommez en Europe n'ont pas été en mesure d'observer récemment lors du débat de la législation pour réduire les émissions de CO2 d'être imposés sur les constructeurs automobiles dans la production de nouvelles voitures. Le paquet de lutte contre les changements climatiques Union, en plus des objectifs du 20-20-20 prévoit également une augmentation de l'usage des biocarburants, 10 x pour cent dans le secteur des transports.
Même en 2008, analysent la relation découlant des trois «groupe de travail" de Gieco, (Le Gieco réunit les meilleurs chercheurs du monde entier et est un groupe intergouvernemental d'experts sur le climat, né en 1988 à l'initiative de la World Meteorological Organization et Nations Unies pour l'environnement et a été en particulier au Protocole de Kyoto), la réunion des experts mondiaux sur les changements climatiques stipule que la catastrophe climatique est au coin de la rue et menace de fermer notre survie. Le nouveau rapport indique que Gieco de l'effet de serre existe et qu'il s'accélère. Au cours des 10 dernières années, les deux concentrations de CO2 dans l'atmosphère et les températures ont augmenté plus rapidement que dans le passé. Selon les chiffres qui circulaient avant la dernière réunion (Novembre 2007), en 2100, les experts préconisent un doublement des concentrations de CO2 (550 parties par million) par rapport à l'ère pré-industrielle période et au même temps, les températures pourraient augmenter 2 à 4,5 degrés. Un grand bond lorsque l'on considère que depuis le dernier âge glaciaire, ont eu lieu de 10.000 ans, la température moyenne a augmenté de 5 degrés. Malheureusement, ces augmentations des émissions, il ya reflète une diminution de la capacité à absorber les émissions de CO2 des océans et la végétation. Même si il ya 50 ans pour chaque tonne de CO2 émise ces «réservoirs» absorbe 600 kg, seulement 550 kg sont enlevé de l'atmosphère, avec une tendance à une nouvelle baisse. Les spécialistes dans 113 pays se sont réunis à Paris à 90% estimer la probabilité d'une responsabilité dans le climat de surchauffe de l'homme. La Terre réagira à un réchauffement catastrophique et au cours de ce siècle prochain. Les simulations informatiques de Gieco ont prédit un réchauffement de la planète de 1 ° C tous les 10 ans et 5-6 ° C (10-11 ° F) en 2100, ce qui provoquerait une catastrophe mondiale dont les effets sur la vie humaine, l'habitat naturelles, l'énergie, l'eau et de nourriture. Tout cela est fondé sur l'hypothèse que le réchauffement de la planète est causé par le CO2 dans l'atmosphère et que cette croissance va s'accélérer. La plus grande augmentation des émissions a eu lieu dans les pays en développement, en particulier la Chine et l'Inde, tandis que dans les pays industrialisés, d'adhérer au Protocole de Kyoto, les émissions ont augmenté lentement. La Chine a dépassé les États-Unis et le pays est devenu le plus grand émetteur de CO2 dans le monde, alors que l'Inde va bientôt dépasser la Russie.
Prédictions catastrophiques pour l'avenir: des millions de personnes en
Afrique souffrent de pénuries d'eau d'ici à 2020, environ un tiers des
espèces végétales et animales risque d'extinction, et le changement
climatique aura des effets négatifs sur la santé de millions de
personnes. Le plus surprenant conclusion du rapport est que les régions
les plus pauvres du monde qui souffrent le plus des effets du réchauffement
de la planète. Selon le rapport approuvé par quelque 400 délégués à
la Gieco, des représentants de plus de 120 nations et livrés aux décideurs
politiques, de tout changement de mode de vie et le comportement de mai
contribuer à la réduction des émissions (gaz à effet de serre) dans
tous les secteurs. La réduction des coûts peut être consulté et la nécessité
d'agir rapidement, de l'avis des experts, et non pas reportée. Les Européens
veulent que les États-Unis et les pays émergents (Chine, Inde, etc), qui
ne participe pas dans le Protocole de Kyoto, s'engagent également à réduire
leurs émissions de gaz à effet de serre dans le cadre de ce nouvel
accord, ce qui actuellement refuser. Utiliser des baguettes au Protocole
de Kyoto et un avenir pas encourageante pour les rivières et les mers de
l'Italie et le sud de l'Europe. En dépit de l'imminence de retour à la
présidence de la Maison Blanche, les États-Unis ne semblent pas enclins
à adhérer au Protocole de Kyoto. C'est ce qu'ils ont signalé les deux
conseillers des deux candidats à la présidence, Mc Cain et Obama, un
Corrado Clini, Directeur général du Ministère italien de l'environnement
à une conférence sur le thème "Agir dans le temps sur la politique
énergétique", qui s'est tenue à l'Université de 550 kg Harvard.solo
sont retirés de l'atmosphère, avec une tendance à une nouvelle baisse.
Les spécialistes dans 113 pays se sont réunis à Paris à 90% estimer la
probabilité d'une responsabilité dans le climat de surchauffe de l'homme.
La Terre réagira à un réchauffement catastrophique et au cours de ce siècle
prochain. Les simulations informatiques de Gieco ont prédit un réchauffement
de la planète de 1 ° C tous les 10 ans et 5-6 ° C (10-11 ° F) en 2100,
ce qui provoquerait une catastrophe mondiale dont les effets sur la vie
humaine, l'habitat naturelles, l'énergie, l'eau et de nourriture. Tout
cela est fondé sur l'hypothèse que le réchauffement de la planète est
causé par le CO2 dans l'atmosphère et que cette croissance va s'accélérer.
La plus grande augmentation des émissions a eu lieu dans les pays en développement,
en particulier la Chine et l'Inde, tandis que dans les pays industrialisés,
d'adhérer au Protocole de Kyoto, les émissions ont augmenté lentement.
La Chine a dépassé les États-Unis et le pays est devenu le plus grand
émetteur de CO2 dans le monde, alors que l'Inde va bientôt dépasser la
Russie.
Obama, cependant, après son élection, avec un magnétoscope à "gouverneurs" Sommet mondial sur le climat ", convoquées par le gouverneur républicain Arnold Schwarzenegger à Beverly Hills en Californie, a annoncé que les Etats-Unis veulent prendre un rôle de chef de file sur les plans domestique et international problème Avec une dépendance du pétrole étranger, affaiblit l'économie et menace la sécurité. Elle débutera par la mise en place d'un système de toit et le commerce des émissions de gaz à effet de serre (le système du Protocole de Kyoto) et des objectifs annuels de réduction des États-Unis qui conduisent aux mêmes niveaux de 1990 d'ici à 2020 et une réduction supplémentaire de 80% d'ici 2050. Sera investi 15 milliards de dollars chaque année pour les énergies renouvelables. Il clair que Obama politique sur le changement climatique représente le véritable occasion. Nous verrons!
Pendant ce temps, l'océan Arctique est en train de perdre calotte glaciaire avec une avance d'environ 30 ans par rapport aux prévisions du GIEC. Maintenant, il est prévu que lors de la glace d'été pourrait disparaître entièrement entre 2013 et 2040, un fait qui n'a jamais eu lieu depuis plus d'un million d'années maintenant. Les écosystèmes marins dans la mer du Nord et mer Baltique sont maintenant exposés à des températures plus doux jamais enregistré depuis le début des mesures, ce qui imprévisibles sur l'écosystème, tandis que la Méditerranée souffrent de sécheresse à long terme avec une fréquence accrue.
Faites le trajet de Cap Nord à se rapprocher à la mer de Béring, à l'occasion du 90e anniversaire de passage au nord-est, la première société de l'exploration effectuée pour le norvégien Roald Amundsen. est l'objectif que s'est fixé l'expédition "au-delà, The Edge Au-delà de 2008", qui vient de Milan le jour 30 Novembre 2008, que Petter Johannesen, petite-fille de Roald Amundsen et chef de l'expédition, ripercorrerà étapes de la Passage du Nord-Est pour la première fois par des moyens mécaniques (jeeps), du Cap Nord au détroit de Béring, le défi des conditions météorologiques extrêmes de l'hiver sibérien. Le voyage lui-même fin à la clôture de Béring en Mars 2009. Envoi participer au total 45 personnes, incluant scientifiques, médecins, journalistes, photographes, opérateurs de vidéo, des chauffeurs, des mécaniciens, qui à tour de rôle tous les 30 jours prévue dans 12 étapes. L'expédition est né dans un esprit d'aventure, mais elle soulève également des objectifs liés au développement des connaissances, la recherche scientifique, l'acquisition de données environnementales à travers la comparaison entre la réalité du début de siècle dernier (celui que l'on dit par les journaux de Amundsen) Avec l'actuelle. La collecte et la comparaison des données scientifiques seront d'une grande importance pour le GIEC.
Les glaciers dans les Alpes suisses continuent de diminuer, résultant en des réductions drastiques dans la production d'énergie hydroélectrique. Globalement, on s'attend à ce que la hausse du niveau de la mer sera égal à deux fois le maximum dell'IPCC prévisions, qui estime une augmentation de 0,59 mètres d'ici à la fin du siècle, avec de graves risques pour les grandes zones côtières. L'augmentation des températures a déjà entraîné une réduction dans les cultures de blé, de maïs et d'orge dans le monde entier. Selon les dernières études, dans les îles britanniques et la mer du Nord cyclones extrême augmentation en nombre et en intensité, conduisant à une augmentation de la vitesse du vent et des dommages associés à des tempêtes sur l'Europe occidentale et centrale. Le niveau d'ozone au sol, qui agit comme un polluant, sera similaire à celle enregistrée au cours de la canicule de 2003, avec de nouvelles augmentations de l'Angleterre, la Belgique, l'Allemagne et la France. Et même le maximum de précipitations annuelles vont augmenter dans la plupart de l'Europe, avec les risques d'inondation et des dommages économiques.
E 'est devenu clair que le changement climatique est déjà une incidence plus grande que la plupart des scientifiques l'avaient prévu. Il est donc essentiel que la réponse internationale à réduire les émissions et l'adaptation est plus rapide et plus ambitieux. Le dernier rapport du GIEC a montré que les motifs de préoccupation sont maintenant plus forte, ce qui devrait conduire l'Europe à s'engager en raison de l'augmentation de la température mondiale est bien en dessous de 2 ° C par rapport à la pré-industrielle. Mais même le maintien de 2 ° C, selon le GIEC est nécessaire que les pays développés de réduire les émissions de 25 à 40% en 2020 par rapport à 1990, alors que une réduction de 20% serait insuffisant. Si l'Union européenne sera considérée comme un leader décisif dans le sommet de l'ONU à Copenhague en 2009, et si il veut contribuer à l'émergence d'un solide accord mondial pour lutter contre le changement climatique après 2012, ne devrait pas continuer à se dérober à leurs responsabilités et s'engager pour une réduction réelle des émissions.
L'accord sur le climat et la paquet énergie, malgré les demandes de tolérances et d'ajustements aux conditions économiques en chute libre dans le monde, a été approuvé à l'unanimité par l'UE. L'accord conclu le 12/12/2008 par le sommet de l'UE est un "historique" de Nicolas Sarkozy et la raison pour laquelle beaucoup d'optimisme pour Al Gore, les deux champions de la nécessité pour l'Europe de payer pour tirer le monde vers la lutte contre le changement climatique plus stimulant et plus efficace.
09/07/2009
à L'Aquila - G14 "..... nous gouverner ou d'événements ou de
manifestations nous gouvernent ...."!
C'est l'ouverture des Etats-Unis au monde entier que le Président a donné
Obama en sommet quand il a abordé la question des bouleversements
climatiques.
Les pays émergents ont affiché une volonté de contribuer à des
solutions aux problèmes, l'Inde et la Chine prennent du temps, même avec
l'ouverture timide.
Accord historique? Prévue pour 2050 l'assassinat de 80% des polluants.
En 2015, le doublement de l'investissement pour l'énergie propre.
Réunion à
Copenhague pour le point tournant?
S'agissant
de la nomination de Copenhague, les 7-18 Décembre 2009, Simone Jacca
nous dit:
"
Environnement, Last Call: Copenhague, 7-18 décembre
La conférence sur le climat au Danemark:
les erreurs d'hier et d'aujourd'hui pour ne pas faire il ya quelques mois
erreur domaniQualche magazine Intelligent Life, supplément à The
Economist, a posé une question intéressante qui a suscité un débat
inhabituel chez les scientifiques, professeurs, politiciens et
journalistes du monde entier. La question est l'année la plus importante
de l'histoire: une manière de penser sur ce que nous sommes, qui nous
sommes, d'où nous venons et surtout où nous allons. Les experts consultés
par le magazine de cours ne sont pas parvenus à un accord. Et si j'ai volé
toutes sortes de dates: 44 avant J.-C. à la mort de Jules César, 1492,
pour la découverte de l'Amérique, 1945, à la fin de la Seconde Guerre
mondiale et du nazisme, 1989, pour fin du communisme, ou à l'année zéro
pour la naissance de Jésus
Années importantes, au centre de l'histoire des événements et de l'humanité.
Mais à la fin, les auteurs ont parlé de l'enquête et a conclu
provocante (mais pas beaucoup) que l'année sera la plus importante dans
l'histoire en 2009: "Si un sommet Décembre à Copenhague sur le
changement climatique les pouvoirs de la terre ne met pas d'accord, nous
aurons perdu la dernière chance pour sauver la planète et donc nous-mêmes.
"
Ce que nous ne
"Dans un moment historique ce mammifère de l'homme a fait subir
insignifiantes les autres espèces et la nature bouleversée. Giorgio
Ruffolo, dans son essai "Le capitalisme n'a jamais compté (Einaudi,
autruches collier, 2008, pp. 295, € 16.00), est presque romantique dans
le récit de ce siècle-Titanic, pour n'en nommer le disque célèbre
Francesco De Gregori, que, dans le était "loin" 1982 clairement
depuis cent ans, par rapport à une foule de navires, forte, s'est suicidé.
Un bateau conduit par un capitaine, l'homme du XXe siècle, là, assis sur
le pont, en fumant sa pipe, vous pourrez apprécier les exploits de sa création.
En attendant, comme nous l'avons dit Ruffolo, consommée dans un court
laps de temps et une fois pour toutes les masses sans fin des combustibles
fossiles accumulées pendant des milliards d'années dans les entrailles
de la terre, des forêts primitives et des océans du plancton déposé
sous la forme de charbon et de pétrole. Ensevelis sous les tempêtes de
sable millions d'hectares de terres vierges, détruisant la fertilité et
les continents désertifier. Les esclaves de poissons, d'oiseaux et d'animaux
terrestres sont allés bien au-delà de la prescription biblique.
Contaminer les eaux souterraines introduisant des poisons inhabituel.
Liberata masses énormes de méthane à partir des concentrations d'effluents
d'élevages géants. Détruit une grande partie du milliard et demi d'hectares
de forêts tropicales. Propagation dans le sol, l'eau et l'air des
dizaines de millions de polluants chimiques. L'origine du massacre des
autres espèces végétales et animales, a entraîné un déclin
dramatique de la biodiversité, a augmenté ces dernières décennies par
le taux d'extinction d'une espèce tous les quatre ans à environ une
extinction par an.
Tout dans ce monde, ce moment de l'histoire ", cette nuit électriques
et rapide, / dans ce croisement du XXe siècle / l'avenir est un boulet de
canon sur / et nous atteignons presque» (Francesco De Gregori, Muscles
capitaine du Titanic, 1982).
Qu'est-ce nous nous heurtons à
Mais malgré tout, il ya quelque chose de pire, quelque chose de plus
grave, plus urgent, quelque chose d'intéressant qui réunit tous les
chefs de gouvernement du monde et prendre des décisions convaincante et
courageuse: le changement climatique.
Et oui, parce que la liste précédente de terribles catastrophes et peut-être
irréversible est très peu par rapport à l'augmentation progressive de
la température que nous vivons et que nous rencontrons: nous parlons
d'une augmentation moyenne globale de 5,5-7,1 degrés Celsius par 2100.
Six degrés, de sorte qu'il semble presque ridicule en face des excursions
de 10-15 degrés à laquelle nous sommes habitués au cours des mois d'avril
ou de Septembre-Octobre. Mais, en réalité, vous êtes notes sont
beaucoup trop nombreux, et ont des conséquences qui vont au-delà de nos
sensations physiques.
Par exemple: un cinquième de toutes les espèces animales menacées d'extinction,
1-2 milliards de personnes sans eau, la fonte des glaciers de l'Himalaya
et de l'ensemble du Groenland, et à la fin du siècle, l'Amazonie, qui
abrite la moitié de la la biodiversité de la planète, s'est transformée
en une savane aride.
Et si cela ne suffisait pas, National Geographic Channel a présenté une
carte des différents scénarios possibles dans les cent prochaines années,
pour chaque degré d'augmentation de la température globale.
• + 1 position: plus de blé sur le marché mondial;
• + 2 degrés: la destruction des récifs coralliens;
• + cycles de 3 degrés en continu de la sécheresse et les tempêtes de
sable à l'Europe centrale;
• + 4 degrés: la disparition de Venise, New York et toutes les grandes
villes côtières et le Nord du Canada deviendrait la région la plus
fertile de la planète;
• + 5 degrés au lieu de la zone tempérée des deux hémisphères créerait
deux immenses zones inhabitables;
• + 6 degrés: la planète serait de retour à des conditions
environnementales de la période du Crétacé.
Qui sommes-nous faire confiance?
Donc, Copenhague, 17 ans après Rio, 12 ans après Kyoto. Entre 7 et 9 Décembre
2009 à nouveau, selon plusieurs la dernière chance de changer quelque
chose.
Le tableau danoise est divisée en deux: d'un côté nous avons la Obama
Green, qui a entre-temps pas encore ratifié le retour des Etats-Unis dans
le protocole de Kyoto, après le retrait spectaculaire en 2001 avec l'avènement
de Bush. Avec lui, un certain nombre de gouvernements semblent prêts à
prendre des positions intransigeantes: Anglais Brown, le ministre démocratique
nouvellement élu Premier du Japon Yukio Hatoyama et quelques autres.
De l'autre côté du grand groupe des pays en développement (Chine, Inde,
Brésil et Indonésie) que la réclamation de la capacité de s'adapter au
monde occidental et de parvenir à cette richesse que nous avons
majoritairement réalisés dans les années soixante. Pour ceux-ci doivent
être unis diverses Berlusconi, Poutine et Sarkozy, qui, en utilisant un
euphémisme, ne sont pas très sensibles aux questions environnementales.
C'est une question de choix. Entre l'argent et la vie, entre le présent
et avenir, entre guerre et paix, entre collaboration et l'oppression,
entre un nouveau pacte, un autre de Kyoto, avec des engagements
contraignants graves, des cadres et une nouvelle référence, laissant la
sensibilité et la bonne volonté de chaque pays avec la lourde tâche de
nous protéger d'un avenir inquiétant. Et de la sensibilité et la volonté,
comme nous l'avons vu, il ya peu de fun! Surtout dans notre partie ...
Quel espoir
Les attentes sont donc transformés en un seul, l'espoir ténu. Faible,
mais vivant. L'espoir que l'histoire nous a appris à ne pas aveuglément
et obsessionnelle chercher à l'heure actuelle que de se tourner de plus
en plus regarder vers l'avenir, sachant que toute réalisation, chaque
sommet conquis, il perd immédiatement sens et la signification que l'on
ne peut même pas garantir ceux qui viendront après nous.
Cet espoir, cependant, doit être précédée et accompagnée d'une déclaration
de prise de conscience de la part de tous, que notre mode de vie n'est évidemment
pas acceptable et durable et que toute dérogation est nécessaire.
Mais cela n'est possible que lorsque nous nous rendons compte que le
Titanic est insubmersible et que la mer qui nous attend est difficile et
dangereux, et que, étant donné la montagne de glace doit agir de façon
plus responsable et humblement du fanatique chanter Capitaine De Gregori:
«Jeune homme, je ne vois rien. / Il est seulement un peu "brumeux
annonçant le soleil. / Let's go tranquillement.
Image:
Glacier Perito Moreno en Argentine. Photo gracieuseté de Massimo Musetta
(maxim970@tiscali.it), puis inséré au Chili et en Bolivie. Carnet de
Janvier 2003 (copyright 2003).
09
dicembre 2009 "Économisez S'il vous plaît le monde "
Ainsi
a commencé la conférence sur le climat. La
cérémonie d'ouverture commence avec une vidéo: certains enfants qui
représentent l'avenir, a révélé un scénario qui nous projette dans l'Apocalypse.
Certes,
une provocation, mais aussi préconisé, même si ce sommet ne s'est pas
concrétisé les mesures appropriées par les chefs d'Etat présents.
C'est
un événement d'importance historique. Il
ya plus de 300 journalistes. Juste
un petit nombre de journaux du monde entier, y compris la République, The
Times, The Guardian, Le Monde, El Pais et Toronto Star est une partie
interjette appel exprimé dans un éditorial commun, "A moins que
nous nous unissons à prendre des mesures décisives, le changement
climatique va dévaster le notre
planète et avec elle, notre prospérité et notre sécurité ", a déclaré
les 56 journaux qui disent qu'ils ont décidé cette mesure sans précédent,
pour parler d'une seule voix, de demander les dirigeants mondiaux à"
prendre la bonne décision »pour Copenhague.
"La
réunion les représentants politiques de Copenhague ont la possibilité
de décider quel sera le point de vue de l'histoire de cette génération,
celle qui comprend la menace et qu'il n'a pas répondu à ses actions, ou
d'une si stupide qu'elle avait vu à catastrophe
et ne fait rien pour l'empêcher. Nous vous implorons de faire la bonne
chose. "
La situation aujourd'hui: cliquez sur
Le
décrochage est la seule réalité qui se dégage de Copenhague. Le
Sénat américain a bâillonné le président Obama de ne pas avoir parlé
de l'accord avant le sommet. Le
rôle des Etats-Unis n'est pas défini, comme la Chine et l'Inde qui
affirment être prêts à parcourir le chemin de la production d'énergie
propre, mais exigent fianza fort en faveur du développement durable. La
disponibilité de l'Europe de la capitale était considérée comme "peanuts"
par rapport à 500 milliards € par an prévisible, mais impensable pour
les économies des pays les plus avancés, sinon son effondrement
économique. Des
scientifiques ont déjà étudié la recherche sur les phénomènes qui se
produisent, réalisent l'impact humain sur les bouleversements climatiques:
leur cri d'alarme contraste cependant avec les exigences indispensables de
la macroéconomie, surtout en ce moment dans l'histoire déjà choqué
par la crise économique dans les pays occidentalisés qui est toujours
présent. Les
pays pauvres souffriront le plus de dégâts! Les
grandes sociétés ont toujours refusé de se conformer aux accords de
Kyoto de continuer à exploiter les ressources au détriment de tous:
inimaginable qu'ils peuvent le faire aujourd'hui. Les
émissions mondiales ont augmenté de 40% de 97 à aujourd'hui, malgré
les efforts considérables déployés par l'Europe pour limiter les
polluants, mais les augmentations des émissions insignifiantes par
rapport aux chinois, indiens et américains pour atteindre près de 50%
des émissions mondiales et exigent
des mesures correctives immédiates pour un développement écologiquement
durable qui permettrait de ralentir leur croissance. The
macroeconomics emprisonner la Terre et gag à la disposition des chefs d'État
du Sommet, mais sourd à ratifier les traités. Déplacer
Surprise: la U. S. secrétaire d'État Hillary Clinton a dit que les
Etats-Unis mettra à la disposition d'ici à 2020, leur participation dans
les 100 milliards de dollars aux pays sous-développés et sont «prêts
à prendre les mesures nécessaires pour atteindre un complet
et fonctionnel, un accord sur le climat et il doit y avoir des doutes sur
la volonté des États-Unis pour atteindre le succès à Copenhague. U.
S. président Barack Obama est arrivé à Copenhague pour participer avec
plusieurs autres chefs d'Etat et de gouvernement du Sommet sur le climat. Il
a déclaré à un photographe de l'Agence France-Presse sur les lieux. . De
la presse coude du 18/12/2009 0re 10,36 "Les
discussions tenues au cours de la nuit à Copenhague entre trente chefs d'État
et de gouvernement à l'initiative de l'UE», ont été "fructueux et
constructif", mais sont «encore loin d'un résultat." C
'est comme l'a déclaré le Premier ministre danois Rasmussen Lars Loekke
président de la Conférence sur le climat. Ce
matin, les dirigeants de ce groupe ont déjà repris leur travail, alors
que c'est à Copenhague U. S. Président Barak Obama. De
nombreuses heures de travail de nuit à la recherche difficile pour un
accord sur les mesures à prendre pour freiner le réchauffement
planétaire. Les
négociations visant à la mort ici, à Copenhague, où le sommet de l'ONU
sur le climat est vraiment arriver dans la filière avec l'arrivée des
dirigeants.
En
attendant l'entrée dans la scène de Barack Obama, prévu pour ce matin,
les chefs d'Etat et de gouvernement ont retroussé leurs manches et ont
commencé à négocier sérieusement, même à travers un tourbillon de
pourparlers bilatéraux qui ont aujourd'hui son paroxysme avec le réunions
que le président américain aura - ici, à Copenhague - avec le Premier
ministre chinois Wen Jiabao, avec le président russe Dmitri Medvedev et
brésilien Lula Ignacio da Silva. A
également convoqué une nuit supplémentaire sommet dans une course
contre le temps, bien que beaucoup pensent, il sera nécessaire de
prolonger la réunion un autre jour. Dans
l'annonce de fin de soirée du Premier ministre danois, Lars Rasmussen, la
réunion porte ses fruits et qu'il est préparé un nouveau projet d'accord
qui sera présenté ce matin à huit chefs. Il
y aurait des efforts pour réduire les émissions de gaz polluants pour
limiter la hausse de température en dessous de deux degrés et l'objectif
de financement à long terme dans les pays en développement avec 100
milliards de dollars par an d'ici 2020. Le
rapport, selon Reuters, les sources qui ont participé aux pourparlers et
qui ont demandé à rester anonyme. "Il
été une réunion utile et fructueuse", a déclaré Rasmussen,
confirmant que les Sherpas vont travailler toute la nuit pour faire des «progrès».
La
percée qui a donné le souffle à la négociation, mais une fois de plus
«made in USA», même si les Européens ont poussé fort pour un bon
résultat. Obama
a été précédée par surprise par le secrétaire d'État Hillary
Clinton hier matin, s'est propagé largement la confiance des états de
bonne volonté, avec une ouverture forte: les Etats-Unis ont accepté de
participer au Fonds d'aide aux pays en développement 100
milliards de dollars en 2020. Il
se tient la Chine yesterday montré un excès de tactique: tout d'abord,
il jeta dans la panique par les négociateurs de l'Organisation des
Nations Unies savoir qu'un accord était «impossible», puis, par une
déclaration du Premier ministre chinois Wen Jiabao, a appelé à une accord
équilibré, juste et raisonnable ». Entre-temps,
peut-être pas surprenante, est une étude de choc fuite des Nations Unies
stipule clairement que si vous signez un accord dans les conditions
actuelles de la planète serait au risque de catastrophe. Selon
ce document un caractère confidentiel, les offres de réduction des
émissions de CO2 sur la table des négociations, conduirait à une
augmentation de la température moyenne globale en trois degrés par
rapport à l'objectif de 2 degrés. Traduit:
170 millions de personnes souffriraient plus pour les inondations et 550
millions de risque plus de la faim. " En
lisant entre les lignes nous dit que chacun d'eux transporte ses
stratégies et d'un accord hypothétique devrait entraîner la sauvegarde
tous les visages.
MINI
climatiques accord. Un
accord avec le pas de chiffres sur la réduction de CO2, avec la
reconnaissance de la preuve scientifique établissant un maximum de 2
degrés augmentation de la température, et avec certitude que sur le
fonds, 30 $ milliards sur la période 2010-2012 et 100 milliards de
dollars l «année
d'ici 2020. Une
victoire est de la Chine, qui avait refusé à l'horizon 2050 cible les
émissions mondiales de 50% pour tous les pays. L'UE
accepte, quoique timide, et le président français, Nicolas Sarkozy a
exprimé sa "déception" de l'absence de référence à une
réduction des émissions mondiales, et annonce une nouvelle conférence
à Bonn dans les 6 mois. Mais
la nuit sur le document d'enflammer les esprits. Lors
de la séance plénière de la Conférence, où tout semblait joué
d'avance, en dehors de la digue de barrage de pays latino-contestation de
la procédure qui a conduit au texte. Une
rébellion commandant de bord et une fois de plus le symbole de la
Conférence, le petit archipel du Pacifique, Tuvalu, qui menace de s'effondrer
sous la pression des changements climatiques. Le
Premier ministre Apisai Ielemia indique clairement que l'avenir de son
petit Etat "n'est pas à vendre" et cite le denier 30 de Juda. Les
longueurs d'onde même ligne impliqués éclater le Venezuela, Cuba, Costa
Rica, Bolivie.
Écrit
- Stefano Polli -- «Ils
ont appelé accord, mais il semble quelque chose comme un échec. La
magie de Barack Obama ne fonctionnera pas dans de Copenhague, et après
onze jours de négociations exténuantes et irritant sommet de la montagne
sur le climat des milliers de politiciens, d'experts et de techniciens
accord donne naissance à une petite souris ». Un
accord, si nous voulons appeler, à la baisse, la récolte du fil dans une
négociation menée sans conviction et sans courage, et poursuivis par les
grands de ce monde - sauf en Europe - seulement regarder l'intérêt
national et d'ignorer le fossé qui voit clair l'avenir
d'un monde fragile et exposée aux conséquences de la pollution et l ' «effet
de serre. Les
vetos opposés visions des grands hommes du monde d'égoïstes - les
États-Unis et surtout la Chine - ont forcé la conférence de Copenhague
de produire un accord sans respirer et sans une vision qui peut donner la
perspective à résoudre les problèmes climatiques, et qui forcera la
communauté International
nouvelles nominations dans le court terme, dans les mois à venir. Les
numéros manquants dans cet accord et les mots seuls ne peuvent suffire. De
même que ne suffit pas leurs propres objectifs de limitation du
réchauffement à 2 degrés et la tranche inférieure de 30 milliards de
dollars de ressources immédiates (2010-2012) et 100 milliards de dollars
par an d'ici 2020. Où
sont les engagements nationaux de réduction de CO2? Et
où est la référence pour la réduction globale de 50% à l'horizon
2050? Les
chiffres doivent être présentées dans le premier Février 2010, et la
communauté internationale, comme dit le président français Nicolas
Sarkozy, se rencontrer à nouveau à Bonn en six mois pour un match
revanche. C
'est un accord n'est pas contraignant, comme l'a expliqué Obama, qui a
reconnu qu'il s'agit d'une "compréhension" ne suffit pas. Au-delà.
C'est
une «scission du cartel à grande échelle: d'une part, les États-Unis
qui ont atteint les heures de consultations effrénées d'un accord avec
l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud et autres pays d'Europe qui, tout en
Obama était déjà en vol pour retourner aux États-Unis s'étaient
réunis pour trouver un moyen efficace d'exprimer sa frustration. Etats-Unis
et la Chine - les plus grands pollueurs du monde - sont restés fermes sur
leurs positions, insuffisants pour résoudre les grands problèmes de
l'économie mondiale. L
Europe »a malheureusement confirmé que ne parvient pas à influer sur la
scène internationale face à la montée en puissance du nouveau directeur
mondial, le Washington-Pékin G2. Inévitablement
revenir à l'esprit l'engagement, la force et la détermination avec
laquelle les grands de ce monde ont répondu, il ya seulement quelques
mois, la crise financière récente, l'argent dépensé et la rapidité de
leurs efforts. Rien
de tout cela a vu ces jours-ci à Copenhague. Et
dans cette comparaison simple est l'image la plus claire de l'échec de
Copenhague. "G77: Le groupe qui rassemble les pays les plus pauvres
et la protestation en développement. L'accord
"est la pire de l'histoire" du sommet de l'ONU. «Cet
accord présumé est un échec total, est également un pas en arrière
par rapport au Protocole de Kyoto." Réponse
dure E 'par le Directeur général de Greenpeace, le français Pascal
Husting, la première lecture du texte final de Copenhague. «Si
un chef d'Etat vont essayer de dire que cet accord est un succès - a
ajouté Husting - remporteront la Palme d'Or pour la communication des
plus trompeurs. Dans
le projet de distribuer disparaître des engagements contraignants et
collectifs, à leur place une liste de la disponibilité de chaque État
unique. «Il
n'ya qu'un seul point - il a continué le chef de Greenpeace - qui parle
des accords obligatoires. Le protocole de Kyoto a été insuffisante, mais
au moins elle était contraignant. Ce texte est la preuve que l'auto
nationales d'intérêt l'emporte et est également la
version la plus faible circulé parmi les personnes présentes.
"Les
données scientifiques sont incertaines et ne peut pas changer - fin
Husting - mais si, après plus tard, toutes ces années, cela signifie que
la politique a échoué. Ensuite, il ya seulement deux possibilités: soit
nous changeons le changement politique ou les politiciens."
2010 - Catastrophe écologique
British
Petroleum.. merci!
La seule vraie réponse est que vous
méritez les marchés mondiaux refuser vos produits et...toujours
Le
temps continue de montrer des anomalies intenses dans le monde. La
diminution des jours de gel avec la température minimale est inférieure
ou égale à 0 ° C, tout en augmentant les nuits tropicales et journées
d'été. Il ya aussi augmentation de la température de surface des océans:
l'Atlantique Nord a maintenu une intensité comprise entre +1 et +2 ° C,
le même qu'en 2008, alors que dans le Pacifique tropical, l'anomalie est
légèrement positif depuis Juin . En ce qui concerne la sécheresse de
pointe a eu lieu au Mexique et de l'Est et l'Afrique centrale où la sécheresse
a causé une grande famine pour 23 millions de personnes. Anomalies d'égale
intensité ont également affecté le Moyen-Orient, Europe de l'Est, la
pointe nord de l'Asie, l'Australie et l'Asie du Sud-Est. Les anomalies
thermiques intenses qui ont touché les régions du sud, a payé une réduction
de l'étendue de la couverture de glace de l'Arctique (le troisième plus
bas après 2007 et 2006).
En Russie, par exemple, le pic a été enregistré en Février avec des
températures moyennes mensuelles de 3 à 6 ° C en dessous de la moyenne
1961-1990. Fortes chutes de neige (le plus abondant des 55 dernières années)
ont affecté le nord-est de la Chine, tandis que le record de la
couverture neigeuse a été réalisé en Amérique du Nord.
Quant à la saison des pluies, les précipitations particulièrement
intenses ont investi au cours du mois de Juin, en Europe centrale et la
Chine, où ils ont détruit de nombreuses maisons et les récoltes considérablement
réduit.
Le réchauffement climatique fait fondre "la montagne de
l'Arche" au cours des 30 dernières années, les glaciers du mont
Ararat en Turquie orientale, serait réduite d'environ un tiers de leur
surface. L'alarme a été lancé par le géologue Akif Mehmet Sarikaya,
qui a précédé la publication des résultats d'une étude sur la glace
de la montagne sur laquelle, selon la légende, il aurait décroché
l'arche de Noé après le déluge.
La vague de chaleur exceptionnelle qui a étouffé la Russie, les sécheresses
et les incendies qui ont tué des dizaines de personnes ont détruit des
milliers d'hectares de champs de blé sont autant de signes que le
changement climatique entraîne des conditions météorologiques extrêmes
dans le monde entier. A déclaré Alexander Bedritsky, conseiller météorologiques
pour le Kremlin, qui a cité d'autres catastrophes qui peuvent être liées
au réchauffement climatique que les terribles inondations au Pakistan, le
plus grave dans la période historique, la vague de chaleur en France en
2003 qui a tué 15 000 les gens. Pris dans leur ensemble, «ce sont des
signes de réchauffement de la planète», a déclaré Bedritsky, qui est
également président de l'Organisation météorologique mondiale, dans
une conférence de presse. Moscou est traditionnellement très prudent sur
le changement climatique dans un pays dont l'économie dépend fortement
des exportations de pétrole et de gaz. La vague de chaleur en Russie, la
plus forte dans les 130 ans de records de température, a recueilli des
milliers de feux, surtout à l'ouest du pays, enterrant Moscou sous un
voile de fumée âcre pendant une semaine, un phénomène qui a doublé
mortalité dans la ville. La sécheresse et les incendies ont coûté à
la Russie est un tiers des récoltes de céréales et le gouvernement a décidé
de bloquer l'exportation de blé jusqu'à la fin de l'année, provoquant
des hausses de prix sur les marchés internationaux.
Pourrait se séparer de la Crimée à l'Ukraine. Non pas tant
politiquement que physiquement. La possibilité que dans un proche avenir,
la péninsule de la mer Noire n'est plus attaché à la terre ferme sont
élevés. Au moins en fonction de ce qu'il a dit Nicolai Kulbida, chef de
la hydrométriques de l'Ukraine Center. Parce que du réchauffement
climatique et la montée des eaux serait devenue une île en Crimée. Une
hausse d'environ 50 cm du niveau de la mer Noire conduire à la division
de la péninsule du continent.
Il semble donc de plus en plus clair que la face d'extrémité du
protocole de Kyoto deux ans après son expiration. Les visions de ceux qui
restent fermement opposés (la Chine et la plupart des pays en développement)
a l'intention d'entretenir avec les amendements préparés par le Groupe
de travail AGW-KP et la définition de nouveaux engagements, et qui (la
plupart des pays industrialisés y compris l'UE), cependant, serait de ce
genre dans le contexte plus large dans le groupe traité au point par l'AGW-LCA
en termes de localisation et les objectifs à court terme dans le contexte
plus large de la route et les objectifs à long terme.
En ce qui concerne les objectifs de court et long terme, il convient de
noter que les pays les plus industrialisés (y compris l'UE) et les pays
émergents (dont la Chine), ont déclaré à plusieurs reprises leurs
positions, y compris même déclaration d'autres sessions précédentes:
la volonté de prendre des engagements plus ambitieux, ou très ambitieux,
à condition que d'autres font la même chose. Une déclaration selon
laquelle, dans la pratique, cela signifie que personne ne fera rien si les
autres n'ont pas fait quelque chose avant, et qui conduit inévitablement
à prolonger l'impasse, attendant que quelqu'un, tôt ou tard faire le
premier pas.
La dernière réunion avant la réunion de Cancun a entraîné des progrès
dans un minimum, si ce n'est, à certains égards, qu'un pas en arrière.
A Tianjin, en Chine, la session a été provisoirement rien de moins, s'ils
ne sont pas concluants.
Une semaine dédiée à la conférence sur le climat de l'ONU à Cancun, où
il a rencontré les ministres de 194 pays dans le monde ainsi, vous êtes
assis autour d'une table pour trouver une solution aux problèmes qui s'annoncent
et qui menacent de plus en plus le climat mondial. La question centrale
reste critique - une fois de plus - le protocole de Kyoto après, qui
d'une part, pour certains paramètres, est déjà insuffisant, l'autre est
encore beaucoup de difficultés à respecter. Il est donc nécessaire que
les pays participants sont d'un accord équilibré et unanime.
Tous les gouvernements participants, à la seule exception de la Bolivie,
de signer un accord qui les engage à conclure, à l'occasion de la Conférence
des Décembre 2011 (COP 17), un accord pour réduire les émissions
mondiales d'ici 2020 de gaz à effet de serre entre 25% et 40%.
L'objectif est de limiter la hausse des températures à pas plus «de
deux degrés. Les pourcentages de réduction liée à des données mesurées
pour l'année 1990 et pris comme point de départ dans le Protocole de
Kyoto.
Il faut dire que cette disposition est moins que les promesses électorales
d'un politicien. Aucun des problèmes clés qui ont jusqu'à présent empêché
la conclusion d'un accord sur le climat en vigueur a été résolu. Il n'y
a pas accord sur la manière la responsabilité de réduire les émissions
mondiales seront réparties entre les différents pays. Il n'y a pas
accord sur le niveau réel de la réduction, puisque entre 25% et 40% en
cours d'exécution 15 points de pourcentage qui composent une quantité énorme
en termes d'effets sur les températures. Il n'y a pas d'accord sur le
caractère contraignant des engagements futurs de réduction et national,
pour le moment laissé à la mutabilité de la bonne volonté des États,
et ne comprends vraiment pas comment, dans un an, ces gouvernements seront
en mesure de joindre les deux bouts individuels pourcentages.
Envisager la totale inadéquation de la référence aux données de 1990
pour déterminer les pourcentages: les données de plus de 20 ans, a dépassé
les révolutions économiques qui ont fait exploser les émissions de pays
comme la Chine et l'Inde.
Songez aussi à l'insuffisance du pourcentage de réduction (de 25% à
40%) avec l'objectif de contenir deux degrés des températures plus élevées
peuvent être atteints qu'avec les pourcentages de réduction du double de
ceux ventilés à l'accord conclu hier.
L'accord prévoit également des investissements dans la protection des
forêts et le transfert de technologies à faible impact environnemental
de ce qu'on appelle les marchés émergents, les investissements dans la
première année de l'accord de futurs sont estimés à 10 milliards d
'€ et devrait progressivement se développer jusqu'à 100 milliards de
dollars en 2020. Mais l'accord ne précise pas quels pays devraient
assumer les coûts d'investissement et qui en bénéficieront.
L'accord à Cancun est donc un accord sans aucune obligation à quiconque,
et comme tous les accords qui ne comprennent pas les engagements
contraignants, a la valeur d'une simple promesse que l'année prochain
sommet nous allons voir très difficile de se transformer en un accord réel
et effectif.
Cancun a été ouvert sans attentes particulières et se termine par un
chef-d'œuvre d'hypocrisie.
Gouvernements du monde entier ont convenu d'un ensemble de décisions qui
constituent la base de soutien pour la poursuite des négociations l'année
prochaine dans le but de parvenir à un résultat final à la prochaine
Conférence sur le climat (COP17) à Durban, en Novembre-Décembre 2011.
2011 - alarme ONU sur le climat
"Les catastrophes va
augmenter"
Le rapport de la task force nouvelle: inondations et les tempêtes plus violentes. Les événements extrêmes sont appelées à augmenter. Les experts du GIEC: tropical chaud et pluvieux qui deviendra la norme en Europe.
C'est ce qu'écrit Anthony Cianciullo: «Rome, Cinque Terre, Gênes, Naples. Ici, il est, concentrés dans quelques jours, la prévision de la météo à venir. La colère du vent qui emporte tout, les murs d'eau qui se transforment en bombes à eau, les orages qui remplissent les phénomènes célestes, que nous appelons extrêmes parce que jusqu'à récemment représenté les limites connues de l'horizon, maintenant répéter avec souvent dévastateurs. Demain pourrait devenir routine. L'alarme est le cinquième rapport sur le changement climatique, le GIEC, un panel de plus de 2 000 scientifiques mis en place par les Nations Unies sont en développement. À Kampala, en Ouganda, Novembre 14 to 19 se sont réunis les experts d'événements extrêmes et leur analyse (Rapport spécial sur la gestion du risque d'événements extrêmes et des catastrophes) montre une image dramatique de la chaos climatique produit par l'utilisation du charbon et de l'huile et la déforestation: il est «pratiquement certain», disent les experts, ce qui augmentera les vagues de froid et la chaleur extrêmes, inondations, cyclones tropicaux et extratropicaux. Et à payer le prix sera plus élevé dans les tropiques et les régions arctiques, les zones tempérées, mais aussi plus proche de la bande de chauffage.
Le nombre de scientifiques du climat soulignent que les 2010 et 2011 furent des années qui ont accéléré la tendance à la croissance des catastrophes climatiques: les températures mondiales ont établi un nouveau record, des vagues de feu ont paralysé la Russie, les inondations ont tué deux dossiers millier de personnes au Pakistan et en Inde, bouleversé, une tempête de poussière a frappé Beijing et a étouffé 250 millions de personnes, Bangkok est faite sous l'eau, la sécheresse et la famine qui ravage la Corne de l'Afrique a suivi l'ouragan Irene une voie folle venant de secouer New York, Gênes avait l'une des inondations les plus violentes de son histoire, les Cinque Terre ont été emportés par la boue, Messine et sa province a enregistré des inondations catastrophiques.
Selon le GIEC accrue d'énergie impliqués dans l'atmosphère produite par la croissance des émissions à effet de serre vont aggraver ces problèmes. En l'absence d'un arrêt de combustibles fossiles et la déforestation, les vagues de chaleur qui en 2003 était de 70 000 décès supplémentaires en Europe vont devenir plus fréquents en 2050 la plus haute température sera d'au moins 3 degrés plus élevée que la température maximale du siècle l'année dernière et en 2010 plus de 5 degrés, les zones arides et semi-arides en Afrique augmentera d'au moins 5-8 pour cent, vous allez perdre jusqu'à 80 pour cent de la forêt amazonienne, la taïga de la Chine, la toundra sibérienne et de la toundra Le Canada sera gravement affecté, et le Pôle Nord sera bientôt devenir navigable en été, la population du monde soumise à un stress hydrique croissant va augmenter d'un milliard à 3 milliards de dollars aujourd'hui.
«La scène dévastatrice indiqué par le GIEC peut encore être évité si vous liez une décision sur les énergies renouvelables et efficacité énergétique», explique Vincent Ferrara, climatologue Enea. "C'est un complexe passage, mais peut être démarré immédiatement, sans frais: il suffirait de fermer le robinet d'incitations que, globalement, financé avec environ 400 milliards par an de combustibles fossiles qui portent atteinte à la stabilité du climat et de l'utilisation de ces fonds pour revitaliser l'énergie propre. "
«Nous n'avons pas le choix: le fait que dans la saison des pluies vallée du Pô et les inondations ont diminué augmentation globale montre sans équivoque que le climat italien est des conditions tropicales», ajoute Joseph Onufrio, directeur de Greenpeace. "Nous ne pouvons pas compter les victimes du chaos climatique sans réagir."
Précipitations lourdes, de violentes tempêtes et intensifie la sécheresse, va frapper le monde dans les décennies à venir. Les experts disent que va augmenter les vagues de froid et la chaleur extrêmes, les inondations, les cyclones tropicaux et extratropicaux. Pour payer le prix sera plus élevé dans les tropiques et les régions arctiques, les zones tempérées, mais aussi plus proche de la bande de chauffage.
Selon le Groupe spécial intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), le corps des scientifiques du climat dans le monde organisée par les Nations Unies, de l'élévation du niveau des mers va augmenter la vulnérabilité des zones côtières, et la montée des «phénomènes météorologiques extrêmes» va balayer les économies nationales et à détruire les vies de millions de personnes. Les scientifiques ont prévenu de ces effets pendant des années, et le rapport du 18/11/2011 à Kampala - le «rapport spécial sur les conditions météorologiques extrêmes» compilées par plus de deux ans à partir de 220 scientifiques - est le premier examen exhaustif des connaissances scientifiques, dans une tentative pour produire une décision finale. Le rapport contient des avertissements pour les pays en développement rapide, en particulier, sont susceptibles d'être les plus touchées par les facteurs géographiques, notamment parce qu'ils sont moins bien préparés pour les conditions météorologiques extrêmes et ont moins de capacité pour la reprise économique que les nations développées. Le monde développé ne restera pas indemne - des phénomènes de précipitations plus intenses, les vagues de chaleur et les sécheresses sont tous susceptibles de laisser leur marque de plus en plus désastreux.
Chris Field, co-président du groupe de travail du GIEC qui a produit le rapport, a déclaré que «le message est clair - les événements météorologiques extrêmes sont de plus en plus probable. Il ya des preuves claires et solides de cette. Nous savons aussi beaucoup plus sur les causes des pertes de catastrophes. "
Il a exhorté les gouvernements à prendre note que «de nombreux impacts économiques et humains des catastrophes peuvent être évitées si l'action demandée est prise rapidement: nous perdons trop de vies et de trop nombreuses activités économiques dans les catastrophes."
Le rapport a été chronométré juste avant des pourparlers cruciaux qui ont eu lieu à la fin du mois de Novembre 2011 à Durban, Afrique du Sud, où les gouvernements du monde pourrait produire un nouvel accord mondial pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre et les changements climatiques. Les bonnes nouvelles sont qu'il ya une reconnaissance générale de la nécessité d'un accord juridiquement contraignant, mais les mauvaises nouvelles sont que aucun accord juridiquement contraignant a été faite à Durban.
Le climat général en Europe, Connie Hedegaard, a déclaré que le rapport devrait inciter les gouvernements à agir et que le monde est à seulement cinq ans pour prendre les mesures nécessaires pour réduire les émissions afin d'éviter le réchauffement climatique catastrophique. Il a dit. «C'est frustrant de voir que certains gouvernements montrent la volonté politique d'agir, à la lumière des faits est encore plus convaincant que la question devrait être portée à l'attention des gouvernements qui sont en faveur du report des décisions: combien de temps vous pouvez vous défendre ''Cette inaction?
Bob Ward, directeur des communications à l'Institut Grantham de recherche de la London School of Economics, dit que le rapport scientifique est clair: «Les experts de la dernière des données scientifiques disponibles montrent clairement que le changement climatique est déjà un impact dans de nombreuses régions monde, avec une référence particulière à la fréquence et la localisation des événements météorologiques extrêmes, tels que vagues de chaleur, sécheresses et inondations. Ces tendances ont été identifiées au cours des dernières décennies, lorsque l'augmentation de la température moyenne mondiale n'est que de quelques dixièmes de degré Celsius .
Le rapport montre que si nous n'arrêtons pas les niveaux actuels flambée de serre, le réchauffement climatique va exacerber les changements dramatiques dans des conditions climatiques extrêmes qui pourraient submerger toute tentative qui pourrait faire pour les populations humaines de s'adapter à leurs impacts.
Le rapport de synthèse a également produit avertissements qui rifletteno la difficulté de relier les événements météorologiques extrêmes spécifiques au anthropiques attribuant des pertes économiques, tels que les dommages causés par les tempêtes et les inondations, à d'autres facteurs impliqués tels que l'urbanisation et la croissance de la richesse en tant que multiplicateurs de les pertes sont plus grandes aujourd'hui que jamais auparavant.
Ce point est susceptible de devenir particulièrement controversé dans le futur, comme les gouvernements dans les pays industrialisés sont appelés à fournir des fonds pour le monde entier pour aider les gens pauvres à s'adapter aux effets du changement climatique.
Les scientifiques ont déclaré qu'ils étaient confiants qu'il en résulte une climat plus chaud dans une augmentation de la fréquence des ouragans et des cyclones tropicaux, exprimant un avertissement sévère pour l'hémisphère nord, et les zones de l'Europe et l'Amérique du Nord, où les ouragans ne se produisent normalement . Il y avait un "basculement des pôles" dans le modèle de la tempête, ce qui signifie que les tempêtes sont plus susceptibles de frapper les zones, comme New York et la côte atlantique de l'Europe.
Les modèles scientifiques montrent aussi qu'il est très probable, un terme qui signifie, en argot du GIEC, de 90% à 100% de probabilité que la durée, la fréquence et l'intensité des vagues de chaleur ou de la chaleur va augmenter dans la plupart des régions le sol. Cela signifie que les journées chaudes de l'enregistrement, qui, auparavant, on peut s'attendre une fois en vingt ans, sont maintenant probablement tous les deux ans. Cela pourrait avoir un sérieux impact sur les personnes âgées et très jeunes, en particulier, qui sont plus vulnérables aux changements de température.
Le rapport dit: «Il est probable que la fréquence des fortes précipitations ou le pourcentage du total des précipitations augmentera dans le 21 ème siècle dans de nombreuses régions du globe Cela est particulièrement vrai dans les hautes latitudes et les régions tropicales, et, en hiver, dans. latitudes nord moyennes, de fortes pluies associées aux cyclones tropicaux sont susceptibles d'augmenter avec le réchauffement continue. Cela signifie que les tempêtes qui pourraient être attendus une fois en vingt ans va devenir un phénomène normal dans les cinq ans. Les scientifiques sont réticents à les traduire en avertissements spécifiques au sujet de la fréquence des inondations et des crues, car ceux-ci peuvent être aggravés par des facteurs locaux comme la topographie, mais a clairement confirmé que les inondations, coulées de boue et glissements de terrain sont associés à de fortes pluies entrecoupées de périodes sèches qui, dans le 21 ème siècle, certaines saisons et les régions, en raison de la diminution des précipitations et / ou augmentation de l'évapotranspiration aura tendance à s'intensifier. Ils ont identifié les zones les plus vulnérables du sud de l'Europe et la Méditerranée, l'Europe Centrale, Amérique du Nord, Amérique Centrale et au Mexique, au nord-est Brésil, et en Afrique australe.
Exigent une action rapide par les gouvernements réunis à Durban, Afrique du Sud, de poursuivre les négociations sur un accord mondial pour lutter contre le changement climatique. Tim Gore, conseiller du changement climatique d'Oxfam, a déclaré:. «C'est un réveil aux dirigeants du monde à agir dès maintenant sur le changement climatique pour sauver des vies et d'argent. Le lien entre changement climatique et augmentation de la fréquence et l'intensité de certains phénomènes météorologiques extrêmes deviennent plus claires, et sont personnes les plus pauvres et les plus vulnérables dans le monde qui sont touchés. inondations et les sécheresses, comme celles qui ont récemment frappé l'Asie orientale et la Corne de l'Afrique peuvent détruire des récoltes entières, contribuant à la flambée des prix alimentaires menant à la mauvaise . faim »Il ajoute:« Les estimations suggèrent que chaque dollar investi dans l'adaptation au changement climatique pourrait économiser 60 $ en dommages gouvernements doivent trouver l'argent pour investir maintenant, et éviter des coûts beaucoup plus élevés de nettoyage et de vie. perdus à la suite .. "
Cancun, il ya accord sur les gaz à effet de serre. Le désastre de Copenhague est derrière
Au sommet gagne la realpolitik: des ouvertures pour un accord en 2011 après le naufrage d'un an auparavant. Mais rien n'est obligatoire.
Écrit Roberto Giovannini envoyé à Cancun.
«C'est un cas classique de l'interprétation du verre. Le verre est à moitié plein accord à Cancun? Et «à moitié vide? Si on l'observe du point de vue de la science, la physique, la chimie de l'atmosphère et les océans, il ya beaucoup de doutes dans les journaux accepté par 193 pays dans le monde - et donné une légitimité par la seule dell'ecocidio irréductibles , le négociateur de la Bolivie Pablo Solon - il n'y a pratiquement rien sur les pratiques et obligatoires donnent un coup de main à la planète Terre. Les termes du problème à partir de ce point de vue, sont claires. Déjà, la concentration de CO2 dans l'atmosphère affecte les 390 parties par million (440 équivalents envisage autres gaz à effet), il faut arrêter à 350 ppm pour être sûr. C'est à ne pas dépasser une augmentation de 1,5 degré de la température mondiale, qui est considéré comme le seuil à atteindre pour éviter les catastrophes. Pour ce faire, nous devrions toucher le pic des émissions en 2015, puis redescendre rapidement. Nous réussirons que si un miracle se produit, et selon de nombreux scientifiques ont maintenant perdu, même à 2 degrés.
Ou nous pouvons être plus réaliste. Et voir la partie solide de notre verre. Personne, pas même les plus fous optimistes espéraient que Cancun pourrait avoir un accord mondial juridiquement contraignant. Chine, Etats-Unis, Inde, Russie, Japon, Union européenne a commencé à partir des positions de départ et des besoins qui - tout simplement - ils étaient absolument inconciliables.
Le miracle de Cancun - le miracle mexicain, parce que tout le mérite revient aux mexicaine Patricia Espinosa Cantellano présidence - a réussi à mettre derrière Copenhague, et ont ouvert une porte vers un accord global en 2011 à Durban, la restauration de la voie multilatérale dans l'égide de l'ONU. Un coup de maître diplomatique, ce qui a contourné la vetos avec pragmatisme et d'habileté, et a établi des bastions de certains (en principe et la substance, comme la REDD) clé. A Copenhague, il est maintenant clair pour tous, est le véritable opportunité historique a été perdue. Cancun a mis le processus sur la bonne voie, et c'est une bonne chose. Mais la planète n'est pas sûr. La physique et la chimie ne tiennent pas compte de la diplomatie. "
Durban sauver un accord climatique mondial, l'adoption en 2015.
Clini, "a dépassé le Protocole de Kyoto»
Lors de la conférence climatique de l'ONU 17e Durban a été un accord conclu à la dernière minute sur la feuille de route pour arriver à un traité mondial sur le changement climatique en 2015, qui entrera en vigueur en 2020. Après un marathon de 13 jours de négociations dans les premières heures du dimanche venu, étant entendu que pour la première fois exige que tous les pollueurs à entreprendre des initiatives majeures pour réduire les gaz à effet de serre. Le Président de la Conférence, Maite Nkoana-Mashabane: «Nous avons fait l'histoire»
L'accord commencera à travailler dès 2012. Pour l'accord global que nous allons commencer à travailler dès l'année prochaine. Pour cela, il a été nommé un groupe de travail ad hoc sous la plate-forme "de Durban." Le document, qui instruit le groupe de travail pour définir l'accord global d'ici 2015 souligne l'urgence d'intensifier et d'élever le niveau de réduction. La forme juridique de l'accord seront discutés plus loin. Quant à la Kyoto2 après 2012, affecter substantiellement l'Europe et quelques autres pays industrialisés, comme le Japon, la Russie et le Canada ont depuis longtemps annoncé leur non à la deuxième période du protocole. Le Kyoto2 sert de pont de l'accord global.
Feu vert pour le travail du Fonds vert. Dans le «paquet de Durban" approuvé par la Conférence, y compris l'exploitation feu vert du Fonds vert pour aider les pays en développement pour soutenir l'action contre le réchauffement climatique. C'est 100 milliards de dollars en 2020.
La feuille de route avec l'accord global et le Kyoto2 «pont a pour principal objectif d'apporter dans la lutte commune contre le changement climatique, les nouvelles économies comme la Chine, le Brésil et l'Inde. Le jeu est également important dans les Etats-Unis qui n'ont pas ratifié le Protocole de Kyoto première période.
L'UE, un tournant historique. "L'accord sur la feuille de route pour le climat est un tournant historique." La Commission et Conseil de l'UE a écrit dans une déclaration commune. "La stratégie de l'Union européenne a travaillé", a déclaré le commissaire à l'Environnement, Connie Hedegaard, notant que «beaucoup ont cru que Durban ne pouvais pas m'empêcher de mettre en œuvre les décisions de Copenhague et de Cancun, mais l'Europe a voulu obtenu plus ambitieux et plus. " "Kyoto - ajouté Hedegaard - divisé le monde en deux catégories, nous avons maintenant un système qui reflète la réalité du monde IUN mutuellement interdépendants." «Grâce à l'accord sur la feuille de route» vers un cadre juridique à partir de 2015 va impliquer tous les pays dans la lutte contre le changement climatique - a déclaré Hedegaard - L'Union européenne a atteint son objectif clé de la conférence de Durban. " Enthousiaste aussi le commentaire de Marcin Korolec, ministre de l'environnement de la Pologne, le pays assurant la présidence tournante de l'Union: «C'est un moment comparable, voire supérieure à la réussite de COP1 en 1995 lorsque, avec le Mandat de Berlin, il s'agissait de la seule entente juridiquement contraignante connu comme le Protocole de Kyoto. "
Dépassé les limites de Kyoto. "Nous sommes sortis de« l'ombre »de Copenhague. L'accord dépasse les limites du protocole de Kyoto et a une dimension mondiale », offrant à l'Europe, notamment en Italie, une chance d'être la" plateforme "pour le développement avec les principales économies émergentes: Brésil, Chine, Inde, Mexique et l'Afrique du Sud. Il a dit "chaud" ministre de l'Environnement Corrado Clini, commentant les résultats obtenus à Durban.
Legambiente, une étape importante. "À Durban, après des négociations longues et difficiles a réussi à éviter la faillite et à renouveler le protocole de Kyoto comme une transition vers un nouvel accord mondial, ce qui impliquera les principales économies du monde au-delà du conflit actuel entre pays industrialisés et développement ». Vous avez dit dans une déclaration delal Legambiente, qui a poursuivi: «La plate-forme de Durban appelle à la signature d'un nouvel accord mondial en 2015 et sa mise en œuvre à partir de 2020. Ce résultat n'est pas évident puisque l'obstruction des Etats-Unis, appuyée par le Canada en Australie et en Nouvelle-Zélande avec la Russie et le Japon pour leur donner une main forte. Mais grâce au rôle de l'Europe - a finalement convaincu, même avec le soutien de notre gouvernement - il a été possible de créer une coalition des volontaires parmi les pays industrialisés et pays en développement émergents sont en mesure de pousser l'Inde et la Chine à abandonner le jeu de vetos et force d'opposition aux États-Unis d'approuver un mandat de conclure un accord mondial pour le Protocole de Kyoto comme un linteau. " (S.
Nat.)
2012
a été la pire année de son histoire.
Réchauffement
de la planète en 26 secondes. La
vidéo diffusée par la NASA montre l'évolution de la température
mondiale moyenne sur la période 1880-2011. La
couleur bleue correspond aux températures inférieures à la température
moyenne mondiale à la période 1951-1980. La
couleur rouge correspond à des températures élevées, des valeurs plus
élevées par rapport à la température moyenne de la planète. Le
développement de la NASA se termine par 2011, l'année la plus chaude
neuvième au niveau mondial depuis 1880. Ce
qui ressort, c'est l'observation troublante: au cours des 11 premières
années du 21ème siècle, la température moyenne du globe a eu une
augmentation substantielle, bien plus qu'à la fin du 20e siècle. Selon
les chercheurs, le 2012 pourrait battre des records, comme les huit
premiers mois ont été parmi les plus chaudes jamais.
Venez
bonnes nouvelles sur le trou d'ozone, qui vient d'enregistrer le deuxième
plus bas niveau au cours des 20 dernières années. Dans
la période entre Janvier et Août 2012, le trou d'ozone a atteint une
taille maximale de seulement 21.200.000 kilomètres carrés. En
moyenne sur l'année et l'extension 'était de 17,9 millions de kilomètres
carrés. Pour
confirmer cette régression de la couche d'ozone sur l'Antarctique, sont
les satellites de la NASA et de l'Agence américaine pour l'atmosphère et
les océans. Les
dates maximales records absolus de retour au 24 Septembre, 2006 (29.6
millions de miles carrés). Les
chercheurs disent que la raison de ce changement se trouve dans la température
la plus chaude enregistrée dans les couches inférieures de l'atmosphère
sur le continent antarctique. En
dépit de l'interdiction des CFC depuis des années, on estime que le trou
d'ozone ricucirsi au plus tôt 2065. A
partir du 1er Janvier 2015 a également HCFC, gaz qui ont remplacé les
CFC, le principal accusé de la destruction de la couche d'ozone, sera
abandonné. En
ce qui concerne les températures de surface unique, dernière Septembre a
été le plus chaud troisième plus juste derrière Septembre 2009 et
Septembre 2005. Globalement,
la température moyenne de l'air était de 1,02 ° C de plus que la
moyenne du compte secolo.Tenendo vingtième seulement de la température
moyenne des océans et des mers, la différence positive par rapport à la
moyenne du 20e siècle a été 0,54
° C, juste derrière jusqu'à Septembre 2003.
Le réchauffement de l'Arctique. Le
circulatoire nouveau modèle apporte un air plus chaud au-dessus de l'Arctique
et «pousse» l'air froid vers le sud. Comme
l'a souligné par des chercheurs de la NOAA, cela implique non seulement
une accélération de la vitesse de fonte de la banquise arctique, mais
augmente également la probabilité de conditions météorologiques défavorables
sur les latitudes moyennes. États-Unis
et en Europe occidentale seraient les régions les plus touchées par les
événements météorologiques extrêmes. Maintenant,
les chercheurs ont conclu, la prochaine étape sera d'essayer de
comprendre ce qui est à l'origine de ce changement. L'équipe
de chercheurs de la NOAA, dirigée par James Overland, a étudié les
paramètres des vents qui ont soufflé sur l'Arctique pour la période
2007-2012, au cours des mois d'été. Les
chercheurs ont ensuite comparé leurs observations avec les données
recueillies entre 1981 et 2010. Il
s'est avéré que le Jet Stream, plutôt que de déplacer d'ouest en est
comme d'habitude, a subi des changements substantiels qui mène à la
manifestation de vingt rafficosi avec la direction du nord au sud. Les
mauvaises nouvelles sur le front des glaciers en Lombardie, selon des
informations publiées récemment sur «Les glaciers en Lombardie",
le nouveau volume édité par le Service de glaciologie Lombardo. Se
référant à la terre historique qui contient plus de deux cents glaciers
dans la région de Lombardie du volume publie des fiches de tous les
glaciers avec une description originale de cartographique et
photographique en particulier mettre en évidence les changements de ces
dernières années. L'image
ci-dessous montre éloquemment retraite sensationnel des glaciers au cours
des deux dernières décennies. Qu'il
suffise de dire que, entre 1991 et 2007 Lombardie glaciers ont perdu 24%
de leur surface, tandis que depuis 2007, la perte a été augmenté de 20%
supplémentaires. Selon
des études et des modèles préparés par les glaciers services
glaciologiques Lombardie Lombardie disparaîtrait, en supposant que l'augmentation
de la température ne souffre plus, complètement en 2060. Parmi
les glaciers disparus cette année est celui de Varuna Pizzo (Bernina
groupe) qui avait encore 80 hectares de glace en 1990, mais
malheureusement, l'été dernier 2012, si chaud, il a été mortelle. Ivan
Gaddari écrit: «Une nouvelle analyse des données économiques pour la période
1960-2008 montre une baisse des émissions de gaz à effet de serre afin
pendant les périodes de récession, mais la baisse était moins de la
moitié du taux de croissance au cours du boom économique. Richard
York, professeur de sociologie et d'études environnementales à l'Université
de l'Oregon, a analysé les changements dans le produit intérieur brut de
plus de 150 pays au cours de la période en question. Sur
cette base, pour chaque pays a identifié les périodes d'accélération
et de décélération économique, raffontando les deux phases avec les
données relatives aux émissions de carbone. L'asymétrie
entre les deux phases dépend non seulement de l'économie nationale, mais
est étroitement liée à toute l'histoire du pays. York,
à cet égard, constitue un exemple intéressant: la situation après l'effondrement
de l'Union soviétique. L'effondrement
économique a amené plusieurs pays post-soviétiques au même niveau économique
de certains pays d'Afrique sub-saharienne. Mais
la crise économique n'a pas fait disparaître l'excédent d'émissions de
dioxyde de carbone provenant de la mise au point précédent. Ces
pays, en dépit d'une grave récession, a continué d'avoir des
infrastructures et des biens durables - les routes, les usines, les
maisons, les voitures et les structures de forte consommation d'énergie -
résultant du progrès économique passée. Malgré
la baisse de l'utilisation par des personnes, la quantité de gaz à effet
de serre n'a pas diminué comme on pouvait s'y attendre. C'est
pourquoi les émissions de gaz à effet de serre n'ont pas diminué comme
prévu depuis le début de la crise financière mondiale en 2007. Toutefois,
il est juste de dire que toutes les données économiques et
environnementales sont connues dans l'intervalle de temps analysé. " La
température de la mer dans la lagune de Venise est en augmentation 10
fois plus vite que l'eau des océans. Et
«ce qui ressort d'une étude menée par une équipe de chercheurs de l'Université
de Southampton. Ivan Gaddari écrit: «Le
phénomène, selon les chercheurs, il est évident proximité de la zone
urbaine, résultant de ce que dans le jargon on appelle« l'effet d'îlot
de chaleur ». Le
développement économique produit de grandes quantités de chaleur, ce
qui se reflète sur la côte avec une température des eaux de matériaux
adjacents.
Changements irréversibles. Venise,
la sappaimo, est l'une des villes les plus populaires dans le monde chaque
année est visité par environ 22 millions de personnes. Il
est clair que l'économie de la région dépend presque entièrement du
tourisme. Bien
que les gens ordinaires peuvent sembler insignifiants, le changement de
température est violente et chauffage rapide provoque des changements irréversibles
dans l'habitat lagon.
Mortalité des poissons. L'élévation
de la température réduit la quantité d'oxygène dissous dans l'eau. Les
conséquences en sont dévastateurs, en particulier pour l'industrie de la
pêche, il n'est pas surprenant de nombreuses années, il ya eu un déclin
progressif des populations de poissons tout au long de la lagune de Venise.
Il
est évident, par conséquent, la nécessité de trouver un équilibre
entre les bénéfices du tourisme et les incidences sur l'environnement.
Non seulement Venise. Le
problème est plus répandu qu'on ne le pense. Le
même phénomène est également observé dans les grandes villes comme
Londres et Séoul. "
2012 a été
la pire année de son histoire. Pour
comprendre l'ampleur de la fonte des glaces de l'Arctique, la NASA a récemment
publié deux images satellites qui permettent de comparer la situation après
l'été 1984 et que l'année 2012 terrible. La
première montre le creux atteint en 2012 (égale à une surface de 3,42
millions de km ²), la seconde est liée à un minimum de 1984, quand, à
la fin de l'été, atteint une valeur proche de la moyenne de 6,7 et million
de kilomètres carrés. L'été
2012 a vu un taux de fusion jamais vu, il suffit de penser que, dans le
mois de Juin, en moins de 24 heures, la surface a diminué, passant de 170
à 175 mille kilomètres carrés. En
Août, comme cela arrive souvent, la fusion a ralenti. Pourtant,
surtout dans la première moitié du mois, le taux est resté bien
au-dessus de la moyenne, avec un pic de 100 à 150.000 kilomètres carrés
par jour contre une moyenne mensuelle de 60 à 70.000.
Le
changement climatique est nuisible pour l'économie mondiale. La
sécurité alimentaire et le changement climatique: quelles sont les corrélations? Le
changement climatique contribue déjà à la mort de près de 400.000
personnes par an et coûte au monde plus de 1,2 milliards de dollars, en
supprimant les lignes 1, 6% par an depuis le PIB mondial. Les
chiffres ne sont rien d'étaler une nouvelle étude. Les
effets se font sentir avec plus d'acuité dans les pays en développement,
où les dommages à la production agricole due à des conditions météorologiques
extrêmes liés au changement climatique contribuent aux décès causés
par la malnutrition, la pauvreté et les diverses maladies associées. Pollution
de l'air causée par l'utilisation de combustibles fossiles contribue à
la mort d'au moins 4,5 millions de personnes par an, il est clair à
partir de la relation. L'étude
de 331 pages, a été publié mercredi par le groupe DARA - une
organisation non-gouvernementale basée en Europe - et le Forum Climate
Vulnerable. Il
a été rédigé par plus de 50 scientifiques, d'économistes et d'experts
en politiques et commandé par 20 gouvernements. En
2030, selon l'estimation des chercheurs, le coût combiné des changements
climatiques et la pollution atmosphérique atteindra 3,2% du PIB mondial,
les pays les moins avancés du monde destinés à subir des pertes allant
jusqu'à 11% de leur PIB . Sheikh
Hasina, Premier ministre du Bangladesh, a déclaré: «Une augmentation de
la température [températures ont déjà augmenté de 0,7 ° C par le
monde depuis la fin du 19e siècle] est associée à une perte de
productivité de 10% dans l'agriculture Pour. nous,
cela signifie une perte d'environ 4 millions de tonnes de céréales, soit
environ $ 2,5 milliards, soit environ 2% de notre PIB. Ajout d'autres
pertes, nous sommes confrontés à une perte totale d'environ 3-4% du PIB .
Sans ces pertes, on pourrait facilement assurer un développement plus
rapide. " Mais
les grandes économies sont susceptibles de faiblir, résultant
principalement En prenant le climat - les sécheresses, les inondations et
les tempêtes plus que de plus en plus intense - et les dommages qui
peuvent effacer les 2% du PIB américain en 2030, tandis que le la
Chine pourrait se traduire par une perte d'environ $ 1.2TR à la même
date. Bien
que de nombreux gouvernements ont estimé que le changement climatique est
un problème à long terme, il ya une prise de conscience croissante. Les
scientifiques sont très préoccupés par la fonte accélérée de la
banquise arctique, qui a atteint un nouveau plus bas de ces derniers jours
et, dans le cas de la fusion continuera au même rythme, la glace pourrait
disparaître complètement en été d'ici la fin de la décennie . Certaines
recherches suggèrent que cette accélération de la fusion pourrait être
lié à l'été froid et très pluvieux dans certaines parties de l'Europe
- comme au Royaume-Uni au cours des six dernières années. Aux
États-Unis, la grave sécheresse cette année, la sécheresse a augmenté
les prix des aliments et de l'interruption de la mousson en Inde a causé
des dommages considérables aux agriculteurs. Connie
Hedegaard, la tête du climat de l'Union européenne, a mis en garde les
pays de la Communauté sull'estremizzazione climatique. «Le
changement climatique et les conditions météorologiques ne sont pas
quelque chose d'abstrait, appartenant à l'avenir. Suis déjà ici»,
at-il dit dans un commentaire pour le Guardian la semaine dernière. Michael
Zammit Cutajar, ancien secrétaire exécutif de la Convention-cadre des
Nations Unies sur les changements climatiques, a déclaré: «Le
changement climatique n'est pas seulement une menace lointaine, mais un
danger actuel Son impact économique est déjà présent.». La
sécurité alimentaire des pays côtiers et insulaires est menacée par le
changement climatique et de l'acidification, de l'environnement met en
garde le groupe Oceana.
La sécurité alimentaire des pays côtiers et insulaires est menacée par
le changement climatique et de l'acidification, de l'environnement met en
garde le groupe Oceana. Dans
son rapport publié récemment, l'organisation avertit que surtout pour
les pays du golfe Persique, le Pakistan et la Libye. Le
rapport comprend également d'autres pays et régions, les îles Féroé,
dans l'Atlantique Nord aux îles Cook, dans le Pacifique Sud, ou en Érythrée,
au lieu de Singapour. Selon
les experts de l'organisation, les pays les plus vulnérables sont ceux
dans lesquels l'alimentation des résidents repose principalement sur le
poisson. La
dégradation des habitats marins est plus grande dans des régions
politiquement instables et les pays riches en pétrole. "Le
golfe Persique est probablement l'une des zones les plus touchées
devraient perdre plus de 50% des captures", a déclaré l'auteur du
rapport Matt Chilsempek. "L'industrie
de la pêche est l'un des plus durement touchés par le changement
climatique de voir et de l'acidification des eaux." Les
deux problèmes sont liés, comme des changements dans la composition
chimique de l'océan résultant de l'absorption excessive de CO2 de l'atmosphère.
Ces
changements ont bouleversé l'équilibre de la vie marine à bien des égards,
pense par exemple que l'augmentation de la température de l'eau de mer
qui poussent de nombreuses espèces de poissons tropicaux à migrer vers
des eaux plus froides loin du rivage. Maldives,
l'Iran, la Libye et Singapour sont parmi les dix pays où la sécurité
alimentaire est en péril à cause du changement climatique. Dans
la liste des pays et des régions qui verront considérablement réduit l'activité
de pêche en raison de l'acidification des océans sont d'abord les îles
Cook, mais la liste comprenait également le Pakistan, l'Erythrée et
Madagascar. «La
plupart des pays qui ont contribué à souffrir du changement climatique»,
a déclaré Chilsempek, ajoutant que, dans ces pays, la pêche n'a pas les
moyens pour capturer leurs proies dans les eaux froides et profondes. Selon
l'organisation Oceana, le poisson est la principale source de protéines
pour environ un milliard de personnes, mais quelques-uns des pays qui dépendent
de la pêche devront faire face à une perte de jusqu'à 40% de leurs réserves
au milieu du siècle. De
la CdP 18 sur le changement climatique montre la difficulté de faire
venir éloignés les uns des délégations princiapli sur les questions
qui sont abordées dans la conférence de l'ONU. Pourtant,
les signaux sur les conditions climatiques graves continuent d'arriver
dans les sources les plus fiables d'associations institutionnelles,
scientifiques et. La
Banque mondiale signale un scénario dans lequel il ya une augmentation de
la température mondiale de 4 ° C et 2 ° C comme il a été dit jusqu'à
présent. Le
Fonds monétaire international fait face dans son récent rapport (Pétrole
et dramatiques des crises économiques. Un rapport du FMI sur
QualEnergia.it), la situation économique préoccupante qui se produit
lorsque l'huile ne sera pas extrait en abondance que beaucoup prétendent
à la place. À
Doha, dans les prochains jours manifesteront les positions de la Chine,
les États-Unis et en Europe, celle-ci tout à fait engagé envers le succès
de la Conférence. Les
Etats-Unis, avec Obama un second mandat, peut avoir une position ouverte,
mais dépend désormais principalement de la Chine, avec le Brésil, l'Inde
et d'autres pays en développement, joue un rôle clé dans les négociations. Un
des discussions en cours à Doha est représenté par l'intention de
mettre toute votre énergie dans une cravate. Probablement,
il y aura des résultats concrets et spectaculaires, mais peut-être nous
espérons que vous prenez des mesures en vue d'une réflexion sur la façon
de réduire les subventions aux combustibles fossiles et de la façon de
renforcer le potentiel de l'énergie renouvelable et l'efficacité énergétique.
Pourtant, il se déplace. Sous
la surface apparente d'un marché qui semble au point mort, peut-être il
ya un fossé de deux propositions convergentes en provenance du Brésil (à
l'époque l'un des leaders de la nouvelle) et l'AOSIS (le groupe de
petites îles, les plus à risque) . Deux,
bien sûr, sont les négociations à la fois parallèles et à risque. Un
de Kyoto 2, qui devrait entrer en vigueur dans moins d'un mois et l'autre
sur le monde d'ici 2015 devrait être étendu à tous les coins du monde
pour entrer en vigueur en 2020. Mais
dans l'ensemble se profile l'écart dramatique entre l'alarme des
scientifiques et des politiques concrètes. Le
premier nous dit que si nous voulons garder l'élévation de la température
dans des limites durables ne doit pas dépasser la Gton 44 (millions de
tonnes) des émissions de gaz à effet de serre en 2020, mais les
engagements qui ont été pris par les différents pays conduit à une prévision
des émissions qui
est comprise entre 52 et 57 Gton est ici l'écart de 8-13 millions de
tonnes qui est absolument réduits si l'on veut éviter une catastrophe,
selon le GIEC. Et
voici les propositions du Brésil et de l'AOSIS: dans deux ans (c'est à
dire avant 2015) d'identifier les moyens de combler cette lacune. Ban
Ki-moon semble les prendre au sérieux quand il commence à parler d'un
grand sommet des chefs d'Etat et de gouvernement qui se tiendra en 2014. Comme
vous pouvez le voir Rien de révolutionnaire, mais quelque chose de plus
que la monotonie grise qui semblait négociations au point mort. Nous
allons voir comment cela se termine.
2013
Selon
les données de la NOAA , Novembre a été le mois le plus chaud
depuis le début de la série de mesures : la température moyenne de
la surface et des océans de la Terre a été un record ayant
enregistré un écart par rapport à la norme égale à 0,78 ° C
au-dessus de la moyenne du 20ème
siècle . Le record actuel dépasse le précédent record établi en 2004 de 0,03 ° C ,
et est également le plus élevé depuis Mars 2010, l'un des derniers
mois dans quelles conditions El Niño étaient présents dans la zone
équatoriale centrale et orientaleOcéan Pacifique .
Contribuer
de façon significative à cette anormales zones terrestres mondiales
de chaleur entre les stands juste en Russie et Eurasie a été observée
très chaud Novembre depuis 1891 . Pourrait-il
y avoir un chiffre pire dans le monde , si ce n'était que dans
certaines régions ( en particulier en Amérique du Nord ) ont des
températures inférieures à la normale dans . Le anormalement chaud Novembre a permis de faire un bond en avant de 2013, qui
se situe actuellement la quatrième année la plus chaude derrière
2010, 2005 et 1998.
Selon
les données recueillies par le Service météorologique australien ,
la température moyenne de la fin de 2013 a dépassé la valeur
moyenne de plus de 1,2 ° C. Il
convient de noter que les enquêtes officielles ont commencé en 1910
. Selon
les experts de la chaleur devient plus fort serait un symptôme clair
du changement climatique . Une
attention particulière a été accordée à l'évolution de l'hiver
l'an dernier , au cours de laquelle près de Sydney est le plus grand
des incendies ont eu lieu dans les 45 dernières années . «Le
réchauffement qui affecte l'Australie ", lit une note du Service
météorologique , est un reflet de la situation mondiale et la
performance thermique de l'année dernière montre que la tendance
actuelle s'oriente vers des températures plus élevées et plus élevées
et les vagues de chaleur de longue durée. "
Experts
australiens soulignent aussi que la tendance au réchauffement clair
depuis le début des années 1950 , c'est à dire lorsque la température
a commencé à monter sur toute la planète . Les
projections pour 2014 serait décourageant, il suffit de penser les
différents chaleur dossier tombé comme des quilles dans cette première
partie de l'hiver . Le 2 Janvier , ont même touché 50 ° C , qui n'ont pas été atteint par
seulement 3 dixièmes.
L'Agence
météorologique espagnol a publié le rapport sur les
progrès de températures pour le mois d'Octobre . La carte montre les anomalies du maximum : 7 à 11 ° C sur la grande majorité
des communautés ibériques ( sud de la Catalogne , de Valence et de
Murcie le plus chaud jamais ) . La cause de tellement de chaleur est due à une combinaison de facteurs : les
retours fréquents africaine et les vents anticycloniques de l'Ouest
qui , après avoir rencontré les régions montagneuses de l'intérieur
sont jetés avec des éclats intenses de foehn sur la côte est . Chauffage
pour la compression adiabatique a mené localement, thermomètres
ferment à 35 ° C. Wednesday 16 Octobre par exemple, la station de l'aéroport de Valence a
enregistré un maximum de 34,3 ° C , la valeur la plus élevée
jamais en Octobre .
Californie
commence rapidement vers la fin de la troisième hiver consécutif au
nom de la sécheresse . La
sécheresse est à l'origine , dans certaines régions de l'État ,
incendies dévastateurs . Le
plus grand explosé Décembre 16, à Big Sur , que dans quelques jours
a détruit plusieurs maisons , forçant les autorités locales à évacuer
environ 100 familles . La
cause reste inconnue , c'est ce que nous apprenons dans une note du
Service des forêts des États-Unis , qui montre également que les
conditions de sécheresse sont assez graves pour faciliter le développement
de grands feux . «
Habituellement, cette période de l'année est plus humide , mais
jusqu'à présent, nous avons eu très peu de pluie ", a déclaré
Lynn Olson , porte-parole de l' US Forest Service . "
Les vents chauds , le climat de la végétation trop doux et sec sont
telles que le niveau d'alerte est très élevé », a ajouté Olson .
" Actuellement , plus de 75 pour cent de l'Etat est dans des
conditions de sécheresse du moyen-élevé , tout en près
de 8 pour cent souffre d' une extrême sécheresse exceptionnelle .
projetée saison établi par le site bien connu AccuWeather.com , la sécheresse
pourrait se poursuivre tout l'hiver . " l'année 2013 sera
probablement l' année la plus sèche de l'histoire », il météorologue Pastelok . " réserves Californie eau n'ont pas encore
remis de la sécheresse de l' an dernier et la situation pourrait
devenir dramatique . "
Un
bel été inséré à l'intérieur d'une année souvent gris et humide
: vous pouvez donc synthétiser le climat de 2013 en Suisse , sur la
base d'une évaluation initiale déjà tracée par les experts de Météo
SRF , malgré l'absence de deux autres semaine
à la fin de l'année . Globalement
2013 a été beaucoup plus pluvieux que d'habitude et pas de
demi-mesures , bien que les températures et les résultats du
rayonnement solaire dans une moyenne totale : dans le détail,
cependant, il a pratiquement pas eu de printemps , en raison d'un
hiver qui a duré jusqu'à la fin mai . Nous
avons dit que l'été mérite une discussion séparée , puisque la
Suisse était le septième plus chaude depuis le début des mesures (année
1864 ) : Zurich a même été le deuxième le plus ensoleillé depuis
100 ans. La
primauté de la réchauffer à Bâle , le 27 Juillet où ils ont touché
37,3 degrés , des valeurs qui ont été mesurées à l'été 2003 (célébrée
cette année était le record absolu de Grono avec 41,5 degrés ) . Le
10 Février : moins ( canton de Neuchâtel ) ont été mesurés -31,4
degrés et la journée a été plus rigide . 2013, la tendance montre que le début du millénaire n'a pas été détecté
aucun chauffage supplémentaire dans la région alpine .
Climatiques , rapport du GIEC : planète " malades " , les risques
pour les humains Apocalypse scénario : l'effondrement de millions de personnes de la faim et
de la soif rouge / asp - 31 Mars ,
2014 11:36 source de ilVelino / AGV NOUVELLES Rome
La
planète terre est «malade» et les effets du réchauffement
climatique sont susceptibles de «grave et irréversible» . Il
est le jugement impitoyable du GIEC ( Groupe d'experts
intergouvernemental sur les changements climatiques des Nations Unies
) dans le rapport publié aujourd'hui à Yokohama , au Japon , sur l'état
de l'environnement mondial de la santé . Les
données confirment que le changement climatique " est bien réel
, qui se passe maintenant et affecte les vies et le bien -être des
populations entières ainsi que celle des écosystèmes délicats
sous-tendent les cycles de vie importants . " Il
suffit de penser de la vague de chaleur qui a frappé l'Europe en 2003
, la dévastation produite par les ouragans aux États-Unis et les
incendies dans diverses parties de la planète . Selon
les plus de 1700 scientifiques qui ont travaillé sur le rapport ( en
vue des décisions à prendre lors de la conférence de Paris en 2015
), il n'existe aucune preuve «accablante» aussi sur ses effets sur
les êtres humains , en particulier en ce qui concerne la santé , la
sécurité alimentaire et .
Les
cultures de maïs, le riz et le blé , selon les projections ,
devraient chuter de 25 % d'ici 2050 , et de nombreuses espèces de
poissons peuvent migrer vers différentes zones d'habitat naturel . Le
scénario est que des millions de personnes se sont effondrées de la
faim et de la soif , et une humanité déchirée par des guerres, des
famines , des inondations et des déplacements massifs . Les
effets les plus importants , lit le communiqué final du GIEC , se
produira dans les tropiques et les pôles , les petites îles et les
grands continents dans les pays riches et des pays pauvres. Actuellement
dans les pays en développement et les communautés rurales souffrent
et souffriront le plus de dégâts à l'impact sur la
production alimentaire , la production animale et les économies
locales . Beaucoup
de gens dans le monde sont extrêmement vulnérables à un réchauffement
supérieur à 2 ° C au-dessus des niveaux pré- industriels . Pour le président du GIEC, Rajendra Pachauri , rapporte le site de la BBC ,
" personne sur cette planète ne peut être exempté des impacts
du changement climatique . "
EUROPE
SOUS PRESSION - Le nord de l'Europe (y compris le Royaume-Uni )
centrale et sera fortement affectée par les inondations des rivières
avec la possibilité de doubler les dommages déjà présents . En
tenant compte des obstacles à des pertes de croissance économique
des inondations en Europe dans une scène de 5,5 ° C pourrait
augmenter de 17 fois . Scénarios
sombres pour la biodiversité européenne : jusqu'à 9 % des mammifères
sont menacés d'extinction et jusqu'à 78% seront gravement menacés
par le danger d'extinction . Le
tourisme d'hiver dans les régions de montagne et l'été dans la région
méditerranéenne vont diminuer avec l'augmentation de la température
. Le
changement climatique sera , en outre, une baisse de la productivité
alimentaire en raison de la maladie et même la propagation de
champignons parasites , ce qui aura un impact significatif sur la sécurité
alimentaire mondiale . En
Europe du Sud les conditions de précipitations seront limitées à
certaines périodes en hiver et au printemps. Le
risque d'incendie dans les habitats naturels et aussi megaincendi
continuent de croître , de même que les risques dus aux tempêtes de
vent . La
valeur des forêts déclin européen de plusieurs centaines de
milliards d'euros et l'incidence de la maladie causée par les
insectes , les champignons et autres parasites augmentera . Les
températures les plus chaudes de mer et l'acidification des océans
aura un impact sérieux sur l'industrie des poissons et crustacés. Le
changement climatique a et continuera à produire des effets
significatifs sur la biodiversité européenne, y compris le modèle
de temps de migration et de reproduction saisons d'oiseaux . Il
est prévu que les habitats favorables pour les oiseaux d'élevage
devront " mouvement" d'environ 550 km d'ici la fin du siècle
. Jusqu'à
9 % des mammifères sont menacés d'extinction et jusqu'à 78% sera
gravement menacée par le danger d'extinction . À
ce jour , une espèce envahissante dans la mer Méditerranée vient
tous les 4-5 semaines . Ce taux va continuer à croître .
"
Le rapport pour la première fois met en évidence la différence
marquée entre ce que serait la Terre si nous agissons maintenant pour
réduire les émissions de gaz à effet de serre , qui vient
actuellement surtout de l'utilisation de combustibles fossiles , et ce
qui pourrait se produire en l'absence une
action rapide et appropriée - a déclaré Gianfranco Bologna ,
directeur scientifique du WWF Italie - . Ce
rapport nous présente deux choix : émissions de coupe maintenant et
investir dans des actions d'adaptation et d' avoir une planète à
faire face est soumis à un risque , quoique avec difficulté et à
grands frais , ou ne rien faire et se préparer à un monde de risques
et effets dévastateurs
et hors de contrôle . Le
rapport est très clair sur ce point : il n'y a pas d'attente . Il
est encore temps de limiter les dégâts en prenant toutes les formes
possibles d'adaptation par rapport aux effets que nous voyons aujourd'hui
- . Mais sans actions immédiates et spécifiques pour éliminer les
émissions de gaz à effet , les effets seront beaucoup plus graves et
au-delà des limites d'une possible adaptation
. Nous espérons que le prochain rapport du GIEC qui sera publié à Berlin en
Avril donnera des indications claires sur les solutions viables "
.
Alarmeclimatique de l'ONU:"gazà effet de serreau
plus hautpar800000
années, maispeu de temps"
Lesconcentrations degazà effet de serreont atteint lesplus
hauts niveaux de800000 annéesmaintenantet ne seront pasconsidérablement
réduitsi le changement climatiqueaura un impactdans un«grave, globalet
irréversible"sur
notre planète:pour lancerencore un autrecri
d'alarmeest leRapport
finaldu Groupe d'expertsdes
Nations Uniessur les changements
climatiques(GIEC),une
synthèse destrois rapports précédentspubliésces derniers
mois.Un document présentéà
Copenhaguequi inclutsept
années detravail de milliers descientifiques
de plus de190pays
à travers lemonde eta
obtenul'approbationdes
gouvernements. "Lesémissions
mondiales degazà
effet de serredoivent être réduitesde 40 à 70%entre
2010 et2050et
disparaîtredéfinitivement de2100- dit leGIEC-.La température moyennede
la surfacede la Terre etdes
Océans aacheté0,85°Centre
1880 et2012.ce
est unpeu de temps pourêtre
en mesure demaintenir lahausse
des températures à2degrés
Celsiuspar rapport à 1990",la limitequi adonné
à la communautéinternationalepour
éviter des conséquencestragiquespour l'hommeest la
nature.Pour les scientifiques,la causeprincipalede l'augmentation del'effet
de serreetle réchauffement
dela planète,est
principalement due àla combustion du
charbonet de la déforestation.Etles effets de cettesont déjà visiblesdans
le monde entier:l'augmentation
des précipitationsdans certaines régionset de disparusdans
d'autres;la distributiondes
espèces etmodifiéterrestremarins;recueilliesgénéralement à la baisse;vaguesde chaleur plus
fréquentesen Europe, en
Asieet en Australie.Sile réchauffement se
poursuit, le GIECavertit,les conséquencesseront
gravesen termes desécurité
alimentaire, la disponibilité del'eau
potable, les inondationset
les tempêtes,avec uneaugmentation probabledans
certaines zonesdeconflits
sur l'accèsaux ressources. "Nousdevons
agir maintenant pourréduire les émissions
deCO2,réduire
les investissementsdans le charbonet adopterles énergies
renouvelablespour éviterla
détérioration du climatqui estchauffé
à une vitessesans précédent-
a ditle secrétairegénéral
de l'ONU,Ban Ki-moon-.L«actioncontre le
changement climatiquepeut contribuerà la prospérité économique, une
meilleure santéet les villesplus
vivables», a ajoutéBan Ki-moon,qui a23Septembrederniera organisé unsommet de l'ONUsur le
climaten présence de120chefsd'Etatet
de gouvernement."Ceux
qui choisissentd'ignorer ou decontesterles informationsdans
le présent rapport,nous etles générations futuresen
danger", a déclaréle
secrétaire d'État,JohnKerry.La
France appelle à"une
mobilisationuniverselleet
immédiate"sur le
changement climatique, tandis quepour
notreministre de l'Environnement,GianlucaGalletti,"le rapportdu
GIEC surl'effet de serreest
unappel à la responsabilitépour
le monde,sertune
prise de consciencemondiale". WWF Italiepour le
rapport"nous dit
que noussommesla
causedu changement climatiqueet
que notredépendance aux combustibles
fossilesest de loin laprincipale
source de pollutionqui esten
train de changernotre climat.Maintenant, ce estaux
gouvernements.""Plus
nous attendons, plusle changementsera coûteux-avertit
leGIEC-..Nousavons les moyens
delutter contre le changementclimatique,lessolutionssont
nombreuses etpermettentunehumaineet le développement
économiquecontinuIlne sert qu'àla volonté
de changer."Les
experts soulignent quelespaysse développent"les
plus vulnérables"car ils ont lemoinsla capacitéde faire face àl'impactdu changement climatique.En
Europe-selon
unrécent rapport del'Agenceeuropéenne pour l'environnement(paysde l'EEE)-environ 33pays(et
pas seulementceux de l'UE)21vous avez déjàune stratégie d'adaptationet
17-en
particulierdans le Nordet
l'Europe centrale-égalementun plan national.Italiel'a adoptéil ya
quelquesjoursetannoncerasous peu.Le rapport du GIECservira
debase scientifiquepour
les décideursengagésdans
les négociations internationalessur le
changement climatique,qui
aurala prochaine étape dela
Conférencemondiale sur le climatà Lima,en
Décembre,avant la conférenceà Parisà la fin de2015.Ce serale
vraiengagements mondiauxbanc
d'essaisurla réduction
des émissionsde gaz àeffet
de serre etle désir de sauverla
Terrede ce point denon-retourqui pourrait coûtertrop
cher.
Lima(Pérou)Décembre14,2014:La conférenceclimatique de l'ONUapprouvele document final.
Lesnégociations entre
les représentantsde195paysse concentrent
principalementsur les questions financièresetles informationsque chaque Étatdoit
présentersur leurscontributionspour réduire les émissionsafinde comparer les résultats. Après une nuit denégociations
à la Conférencedes Nations Uniessur les changements climatiquesà
Lima, a finalementconclu un
accordsur la lutte contrele
réchauffement climatiquedoit être signéà Paris en2015.Un étattexte approuvéManuelPulgarVidalétait,ministre
péruviende l'Environnementet
présidentde la conférence,avant laplénièredes délégations des145paysprésents à la réunion,
qui a immédiatementapplaudile
feu vert pourle document."Ce serait unebonne
idée d'appelerle texte 'appelà Limapour l'actionclimatique","at-il
ajoutéPulgarVidal. L'accordétait
susceptible defaire capoterle
refusde la Chined'accepterun projetdéfinipas justeparce qu'il
ne reconnaîtpas les différences entrelespays industrialisés
et émergents,plaçantun fardeau indusur ce
dernier."Noussommesdans une impasse»,avait ditla délégationde Pékinqui,tout endivisantles États-Unisle
sceptredesprincipaux
pollueursde la planète,produisant un quart dutotal
des émissionsmondiales de gazà
effet de serre,se classe
parmi leséconomiesdéveloppement.
Mais ici,résumés,7 pointsqui seront
discutésau Péroupendant
lesdeux prochainessemaines: Accélérer la ratificationduProtocole de Kyoto àDoha Lespays qui ont signéle Protocole de Kyotoontune nouvelle occasionde
contribuer àla réduction des émissionsavant 2020.L'amendementambitieuxDohadu
Protocole de Kyotodoit être ratifiépar les paysavant de
pouvoir entreren vigueur.Le processus de ratificationdoit
être accéléré etdevrait être adoptédes règles clairesà
Limacomptables afinque
la modificationprend effetau
sein dela réunion de Paris.
Assurer
la transparencedes pays développés Pour la première fois,17paysseront soumis à"l'évaluationmultilatérale"desefforts pourréduire les émissions.
Renforcer
la résilienceau changement climatique Vous aurezà se
entendre surla façon dont lesplans
nationauxd'adaptation des paysdu
monde en développement,la
façon dontseront financéset
traitéesde manière durable.
Financer
la riposte auchangement climatique Les gouvernements travaillerontà
l'échelleet decoordonner
la prestationdu financement climatiqueet les différentsfonds
existants.Unde
la ciblecouvriral'identification
desmoyens d'accélérerle
financement del'adaptation au changementclimatique.
forêts Lespays réunis àLimadevrontse
engager àtrouver une solutioncontre
la déforestation.Plusieurs
pays en développementsont tenus desoumettre des informationspour
leur permettre d'obtenir du financement pourla
protection des forêts.
Fournir
des technologiesaux pays en développement Faire leMécanisme
technologiquepleinement opérationnel,et en particulierle
Centre de technologieclimatique etRéseau.
Marché
du carboneet d'accroître leur Les gouvernementsréunis
àLimaserontnécessaires pour clarifierle
rôledes marchés du carbonedans
lemondial2015
etmis en placeun
programme de travailpour la prochaine
annéeafin de concevoiret
d'exploiterde nouveaux mécanismes demarché.
Climat,ce
qui manqueet ce qui estdansLima
Trop peupour les écologistes,trop pourles négateursdes changements climatiques.Ce qui estcertain, ce
estque laConférence
sur le climatdes Nations Uniesvingtième
(duCOP20)tenuede la premièrenuit du 13Décembredans la capitale péruvienne,établitune carteapprochede route pource qui serala placede la conférencedécisiveà Paris enDécembre2015,où les
gouvernementsdevrontprendre
des décisions définitivesà éviterle seuilde
l'augmentation deréchauffement planétaire
supérieur à2degrés
Celsius.
Les seuilsétablis par
ledernier rapport du GIEC(Groupe
d'expertsintergouvernemental sur l'évolutiondu climat),le
principal organisme internationalpour l'évaluationdu changement climatique,qui
a calculéune coupebesoin40-70% des émissionsd'ici
2050 pourempêcher la poursuitede
surchauffela planète etscénarios
apocalyptiquessi seulementla
températuremonterjusqu'à3.7 à 4.8degrés
Celsiusau cours du siècle(par
rapport aux niveauxpré-industriels). Avec des actionsqui
devraientrépondreà
la limitation descombustibles fossiles,
le blocde la déforestation,ainsi quel'introduction
de techniquescapables de produire desémissions négatives,ce
est à direcapable d'absorberl'effet
de serredans l'atmosphèreà
grande échelle,en 2100.Avecmesures visant à
améliorerl'efficacitéet
le développement desourcesrenouvelablesd'énergie. Actions qui doiventêtre
misessur papier,parce
que lesréductions volontairesont
décidé, par exemple,lors
de la conférencede Copenhagueen
2009,ont produit,
au contraire,une augmentation des émissionsde gazà effet de
serrede plus de 2% par an. En toutcas, l'accordvoté par196nations
présentesavec plus de 11000délégués etnégociateurs,en 5pagestout
sembleencoreà
interpréterun document basé surun "désaccordsur
le climat"bien représentéedall'infograficadécapage
de laClimate Networkitaliennele contrasteentre les
pays industrialiséseten
développement,tout en plaçantbaseprovisoire pourun
demi-tour.
Voici quelques-unesdes
plus importantes:
Principe
de la responsabilitécommune mais différenciée Déjàintroduitdans la premièreConvention-cadre
des NationsUnies sur les changementsclimatiques en 1992(Conventioncadre des Nations Uniessur
les changements climatiquesde la CCNUCCoù l'acronyme),confirmeque chaque nationdoit
prendre des mesurespour atténuer,réduire ouatténuer
les changements climatiquesselonCompteleurs capacitéset de
l'infrastructure.
Perdu&Dommages E 'a été
introduite "Lost &Dommages"outil grâce auquelPays
en développementparticulièrement vulnérables
auxconséquencesdu
changement climatiqueseront en mesure derecevoir une compensation financièrepour
les catastrophes naturellesdésormaisinévitables.
Non
seulement lesémissions de gazà
effet de serremais aussicouperl'adaptation au climat Une autremise en place:le principeque lesnégociations à Parisporteront
surl'atténuationde
l'environnement(ce est
à direla réduction des émissionsde gazà effet de
serre)etl'adaptation
au climatà-diredes
mesures pourlimiter les dégâtsdésormais
incontournable.
la
financeclimatique Estcréé le Fondsvert pour le climatetla prévisionestun rapport de synthèsepour
évaluerquel seral'effet
globaldes engagementsde
réduction des émissionsdes Etats.Ainsi queles éléments
quidoivent être présentsdans
la détermination desengagementsde
chaque pays.L'institutionde fondsdépasse déjà10 milliards de dollars.
Maisce qui manqueet ce qui seradécidéà la placedeParis?
Comme l'a rappeléVeronicaCaciagli, présidentde
l'italienClimate Network,"surtout sila
nature juridique dela prochaine ententeseracontraignant oumoinsde rappeler queles engagements des Etatspourla réductiondes émissions
de gazà effet de serrene
ont pas étéinterrogésà
Lima,comme ce étaitdéjàdécidéqui
doit êtrecommuniqué au Secrétariatde «CCNUCCle
31Mars prochain". Unisdoivent donc êtrepréparésdans les six
prochainsmois,une
série deplans d'action nationaux,quiconstituent
ensemble lepremierplan
d'action mondialpour nous libérerdes combustibles fossileset
d'atteindre100% d'énergies
renouvelablesd'ici 2050,avec des engagements deréductions2020en plus de ceuxprésents pourassurer
le respect duseuil critique de2° C
2,015 - Conférence sur le climat, le monde à
Paris pour se sauver
Le 25 Novembre, 2015 disposent ouvert à Paris le
Cop21, abréviation pour la vingt et unième Conférence des Parties
sous les auspices de l'ONU. Pendant deux semaines, les représentants
de 190 pays se sont réunis pour discuter de la façon de freiner le
réchauffement climatique, limiter l'escalade des émissions de CO2,
pendant qu'il est encore temps d'endiguer les catastrophes
naturelles provoquées par le réchauffement climatique dans
l'atmosphère et dans les océans .
Le changement climatique est un défi non moins
peur du terrorisme, pour toute l'humanité. Oui, nous sommes en
danger, nous et nos descendants, l'expression «sauver la planète»
est un symptôme de «anthropo-centrisme": la planète existait il ya
des millions d'années et continuera après nous, si nous le ferons
inhabitable. La même guerre civile en Syrie a été parmi les causes
une grave sécheresse; une des nombreuses catastrophes naturelles qui
nous sera soumis le plus souvent, avec le coût humain exprimé dans
la migration de masse, la paupérisation, la violence. Les
scientifiques sont essentiellement unanimes à indiquer le seuil ne
doit pas être dépassé: nous devons empêcher l'augmentation moyenne
globale de l'atmosphère de plus de deux degrés centigrades. En outre,
il entrerait dans une dynamique presque irréversible.
Dans la sphère politique, le premier but de Paris
est "supprimer de Copenhague". Nous devons surmonter la
stigmatisation de ce sommet en Décembre 2009 se termina par un
fiasco: paralysé par la confrontation entre les superpuissances, l'Amérique
d'une part, Chine et l'Inde de l'autre; avec l'Europe spectateur
impuissant dans la bataille de veto. Mais quelque chose a changé. L'encyclique
du pape Loué Oui Francesco a accru la sensibilisation d'un défi
commun pour la race humaine; Il pourrait aider à réduire la
résistance dans certains milieux de la droite américaine, mais
sensible aux négationnistes climatiques sur des références éthiques
et religieuses. Une percée géopolitique a émergé il ya un an à Pékin
au sommet entre Barack Obama et Xi Jinping. A cette occasion, le
président chinois a annoncé un plan ambitieux pour réduire les
émissions de carbone afin de freiner sa croissance en 2030 ou avant;
un engagement- touche voit que la Chine est maintenant de loin le
plus grand producteur de CO2. Surtout, cet accord marque un tournant
dans l'attitude de Pékin tournant: la renonciation approche
conflictuelle et vindicatif du passé, quand les dirigeants chinois
avait mis ses réformes environnementales comme autant de «concessions»
à l'Occident développé, au nom du fait lesinandole nous pays riches
ont pollué pendant deux siècles avant les autres. Depuis Novembre
2014 Xi a commencé à utiliser une langue différente, conscient qu'il
est dans l'intérêt stratégique de la Chine pour lutter contre le
changement climatique, compte tenu des dégâts qu'ils paient et ils
vont croître de façon spectaculaire. Rendez manquant un troisième
protagoniste, l'Inde Narendra Modi. Bien que courtisé par Obama,
Modi a stagné l'attitude vindicative. En effet, l'Inde est
maintenant le véritable chef de file de l'avant de la émergents, qui
continuent de voir la réduction des émissions de CO2 de négociation
terre sur laquelle ils veulent plus de concessions des pays riches.
Au centre du débat Nord-Sud est l'absence de l'aide des pays
développés pour financer la conversion aux énergies renouvelables:
seulement 100 milliards $ promis en 2009, et même ceux qui ont été
effectivement payé.
L'état de la veille de Paris est insatisfaisante.
170 pays, qui représentent 90% des émissions de carbone, ont
présenté leurs plans nationaux. Mais pour l'instant la somme de ces
plans - même si elles sont réalisées avec soin - conduirait à une
augmentation de 2,7 degrés de la température moyenne de la planète,
brisant le seuil fixé par les scientifiques. Ceci est confirmé par
le dernier rapport de l'ONU: "Avec les plans actuels ne vont pas
empêcher une augmentation substantielle des émissions d'ici 2030".
Chaque pays apporte à Paris le poids de ses
contradictions. Le président Obama est le plus «vert» l'Amérique a
eu, veut Cop21 devenir un "cachet" de son héritage politique. Il a
fait des choses courageux et même drastique, telles que les règles
sur les centrales électriques qui permettront de réduire les
émissions de 26% d'ici 2025, ou au veto du pipeline maxi avec le
Canada. Mais dans un an, ils votent et si les Américains étaient à
élire un président républicain de nombreuses réformes Obama pourrait
être démantelé. La dynamique du marché jouent dans plusieurs
directions. Le progrès technologique est imparable dans les énergies
renouvelables, l'énergie solaire produite aujourd'hui en Californie
coûte 80% de moins à partir du moment de Copenhague. Mais dans le
même temps l'effondrement des prix du pétrole, de l'essence a chuté
en dessous de 2 $ le gallon pour la première fois depuis 2004, avec
le résultat que chez les automobilistes américains de retour à la
mode du SUV, véhicules et polluantes à forte intensité énergétique.
En fait, la moyenne américaine continue à émettre
trois fois plus de CO2 que le Chinois moyen. Europe, ce qui aurait
de nombreuses raisons d'être considéré comme la première classe sur
les questions environnementales, n'a pas encore de se remettre du
scandale que Volkswagen a cabossé les pouvoirs vert de l'Allemagne.
En outre, le Vieux Continent a ses contradictions internes, le PDG
d'ENI Claudio Descalzi exposé ici à New York dans le forum du
Conseil des relations étrangères: pour équilibrer le coût élevé des
énergies renouvelables subventionnés, de nombreux pays européens
continuent à consommer le charbon de manière significative, qui est
la pire des énergies fossiles. Le mélange de plus de charbon
renouvelable est rien de moins schizophrène.
Scepticisme sur les résultats de Paris a mené
Hollande - bien avant les attaques terroristes - pour examiner l'ordre
du jour, plaçant l'arrivée des chefs d'Etat au début (30 Novembre)
au lieu de la fin (15 Décembre) du sommet. Les cyniques donner une
idée pessimiste: si les dirigeants doivent éviter de «mettre son
visage", sera déjà parti lorsque le sommet se ferme, une débâcle pas
les impliquer personnellement. Le conseiller stratégique pour Obama,
Ben Rhodes, essayer d'être réaliste et rassurant à la fois sur ce qu'il
faut attendre de ce grand sommet: "Nous avons tous appris des leçons
plus d'amour, de Copenhague, et aussi de la première sommet de Kyoto
soit atteint. , les objectifs doivent être définies et adoptées par
chaque pays avec conviction, on ne va pas de l'avant avec des coups
de impositions externes ".
Ainsi, Paris a été divisé par l'échec partiel de
Copenhague pour tenter de parvenir à un nouvel accord, qui est
fondamental pour décider comment aborder la question du changement
climatique dans les 15 prochaines années, au moins. Les engagements
actuels convenus entre les pays du monde sur le climat expirent en
2020: il est nécessaire un accord plus large fixant les règles au
moins jusqu'en 2030. Avec toute la prudence nécessaire, étant donné
les précédents, il ya toujours un juste optimisme quant à COP21,
parce que sur certains points le travail sera plus une question de
coordination entre les engagements déjà pris par les pays et les
organisations supranationales.
L'Union européenne, par exemple, a déjà pris
l'engagement de réduire de 40 pour cent ses émissions par rapport à
1990, pour atteindre cet objectif droit en 2030. La Chine et les
Etats-Unis cette année ont accepté de commencer à réduire leurs
émissions: le gouvernement chinois affirme que ses émissions
atteignent leur maximum en 2030, les Etats-Unis ont promis de
réduire les émissions de 26-28 pour cent en dessous des niveaux de
2005, pour atteindre cet objectif d'ici à 2025. Globalement,
toutefois, les pays responsables de 90 pour cent du total des
émissions ont déjà pris des engagements spécifiques sur les
réductions d'émissions dans les années à venir.
La température moyenne sur la planète continue de
croître, mais à un rythme plus lent que dans trente ans terminés en
1998. Les sceptiques ont utilisé ces données pour discréditer les
études sur le changement climatique, mais si vous regardez les
données, il est clair que les températures ont chuté. En outre, des
deux dernières années, l'augmentation a été plus cohérent et il est
maintenant certain que 2015 sera l'année la plus chaude jamais
enregistrée.
23/11/2015 15:38:45 écran au
Les climatologues et autres chercheurs conviennent
que si vous dépassez la 2 ° C supérieure à la température moyenne à
l'époque pré-industrielle, les effets du réchauffement climatique
seront irréversibles. Au rythme actuel, d'ici la fin du siècle, elle
pourrait atteindre 5,4 ° C au-dessus de pré-industrielle, d'où la
nécessité de changer les choses dans les prochaines décennies avant
qu'il ne soit trop tard. Le problème est que, selon de nombreuses
projections le meilleur accord possible à Paris va conduire au
dépassement de 2,7 ° C, de sorte cependant bien au-delà de la limite
des grands modèles irréversibles. Pour cette raison, la conférence
devra être approuvé la révision des mécanismes, de sorte que tous
les cinq ans, la part des émissions peut être examiné (avec des
limites plus strictes), de manière à atteindre la cible existe aussi
en raison du climat.
Faire des prédictions précises sur les changements
climatiques est très difficile, les variables sont nombreuses et
impliquent les saisons chaque année, la présence ou l'absence d'événements
qui se produisent de manière cyclique El Niño anomalies dans l'enregistrement
des données et les mêmes difficultés de les gérer et de les mettre
ensemble. Pour cette raison, les chercheurs tentent d'identifier les
tendances spécifiques d'observation des séries chronologiques de
décennies - où il est possible depuis des siècles - en tenant compte
des principaux suspects des oscillations de température, y compris
les activités humaines. Souvent la confusion entre les événements
météorologiques particuliers et climatique en général ne pas aider
le public d'avoir une idée précise de l'importance réelle de l'objet,
sans doute le plus grand défi de l'humanité dans ces années.
De nombreux analystes estiment que le changement
climatique représente une opportunité économique énorme, parce que
la transition d'une économie basée sur les combustibles fossiles (pétrole,
charbon, pour ne nommer que quelques-uns) aux économies qui sont
basés sur les énergies renouvelables peuvent être l'occasion de
créer des millions de emplois, de nouvelles opportunités et des
marchés ouverts qui ont été jusqu'à présent marginale. Le problème
est que de le faire exige d'énormes investissements à court et à
moyen terme, ils vont payer dans un avenir plus lointain. Les pays
en développement demandent également depuis un certain temps à des
économies déjà établis pour leur donner un coup de main à se
convertir à la production d'énergie «propre», une telle compensation
comme ils ont eu droit à beaucoup moins de temps que les autres
types d'énergie moins cher, mais encore plus la pollution. A Paris,
il a beaucoup parlé à ce sujet.
Dans le milieu de la catastrophe du sommet de
Copenhague, un point a néanmoins été dit: les pays riches doivent
aider les pays pauvres à organiser les politiques de réduction des
émissions. Les pays industrialisés se sont engagés sur la
répartition des 30 milliards $ en tant que première source d'aide,
en promettant de ne pas déployer officiellement environ 100
milliards d'ici à 2020. Les pays en développement de la demande de
Paris que le pacte être inclus garanties sur cet engagement, que Il
est toujours été gardé en grande partie déjà maintenant, et demander
que des politiques similaires sont étendus au-delà de 2020, ce qui
sera le plus difficile de parvenir à un accord.
• A Paris, 190 pays ont discuté d'un nouvel accord
sur le changement climatique.
• La COP21 va travailler pour trouver un nouvel
accord pour réduire les émissions, afin de ralentir le réchauffement
climatique.
• Les pays en développement réclament de nouvelles
garanties pour recevoir des incitations et un financement pour leurs
politiques énergétiques «propres».
• Pour la première fois aux États-Unis et la Chine
arrivent à une conférence sur le climat avec des engagements précis
sur les émissions, et un niveau supérieur de la participation
habituelle.
• Personne ne veut répéter l'échec de la
conférence de Copenhague en 2009, la possibilité d'un nouvel accord
climatique est plus concrète que jamais.
La COP21 Paris jouait sur la lancée des
engagements nationaux climatiques prises par plus de 180 pays, les
discours passionnés de plus de 150 chefs d'Etat et de gouvernement
et des mobilisations sans précédent, dans le monde entier, des
centaines de milliers de citoyens de poser des une action forte sur
le changement climatique.
Après deux semaines de négociations, les
gouvernements ont conclu un accord qui représente un bon point de
départ pour fixer l'objectif à long terme. Ce doit de toute urgence
être renforcé et complété par une action forte à court terme si nous
voulons avoir une chance d'atteindre l'objectif de limiter le
réchauffement global bien en deçà de 2 ° C ou 1,5 ° C. En outre, le
financement de l'adaptation, de la perte et les dommages et l'augmentation
de la réduction des émissions devrait être le premier point à l'ordre
du jour après Paris.
Alors que l'Accord de Paris a comme horizon 2020,
la science nous dit que pour atteindre l'objectif de limiter le
réchauffement climatique à 1,5 ° C ou bien en dessous de 2 ° C, les
émissions doivent culminer avant 2020 et diminuent ensuite
considérablement. Les engagements existants fournissent environ la
moitié de ce qui est nécessaire, nous devons réduire les émissions
d'autres tonnes 12-16 giga de CO2.
"La conférence sur le climat à Paris n'a pas
seulement abouti à un accord - a déclaré Donatella Bianchi,
président de WWF Italie - mais a lancé un signal qui pousse la
communauté internationale à une collaboration à grande échelle pour
résoudre le problème climatique. Paris a collecté et relancé les
signaux venant de partout dans le monde: plus de 1000 villes ont
signé à utiliser l'énergie renouvelable à 100% en Afrique est né un
projet ambitieux visant à développer des ressources d'énergie
renouvelables d'ici 2020, l'Inde Il a lancé l'Alliance Solar
International, qui comprend plus de 100 pays et vise à répondre à la
fois accès à l'énergie et le changement climatique. Elle doit
développer tout ce genre d'initiatives, chacun dans leur propre pays
et dans la coopération entre les pays, à décoller l'Accord de Paris.
Nous devons également nous demander objectifs et des stratégies
ambitieuses pour les atteindre: à partir de demain, avec l'ensemble
de la société civile, demandez une stratégie climatique réel pour l'Italie,
dans tous les domaines "
"L'accord de Paris représente un jalon
important - dit Kim Carstensen, responsable du Climat du WWF Italie-
Nous avons fait des progrès, mais le travail n'a pas encore été
achevée. Une fois la maison, nous allons travailler à renforcer les
mesures nationales exhorté par cet accord. Nous devons veiller à ce
que de nouvelles initiatives sont mises en place par les
gouvernements, les villes, les entreprises et les citoyens, en
collaboration avec l'autre, parce que la réduction des émissions est
encore plus radicale, pour soutenir les économies en transition de
l'énergie dans le développement et pour protéger les plus pauvres et
les plus vulnérables. Nations doivent ensuite revenir l'année
prochaine avec un objectif: d'augmenter rapidement et de renforcer
les engagements pris aujourd'hui.
«Nous vivons un moment
historique -Continuous Midulla- nous assistons au début d'une
transition mondiale vers l'énergie renouvelable. Dans le même temps,
cependant, nous souffrons déjà les effets dramatiques du changement
climatique en place. De Paris vient un signal fort à tous - l'ère
des combustibles fossiles est la fermeture ".
2016
Climat, exploite l'Accord
de Paris: arrêter le CO2 d'ici 2030
"Le 4 Octobre 2016, avec 610 voix pour, 38 contre et 31 abstentions,
la séance plénière du Parlement européen a ratifié l'accord sur le
climat Paris. "Aujourd'hui, l'Union européenne a transformé les
ambitions sur le changement climatique dans l'action climatique. L'Accord
de Paris est le premier de son genre et n'aurait pas été possible
sans l'Union européenne », a déclaré Jean-Claude Juncker, président
de la Commission européenne. Grande satisfaction par Ségolène Royal,
ministre de l'Environnement français et président de la Cop 21. "Vendredi
7 pays européens qui ont déjà ratifié l'accord les documents de
l'ONU et avec cette loi, il entrera définitivement en vigueur
permettant de dépasser le seuil de 55% des émissions mondiales ",
at-il dit. Pour le Secrétaire général Ban Ki-moon de l'ONU, il est
une «étape historique».
L'accord historique sur les changements climatiques adoptée à Cop21
de 2015 entre en vigueur, après ratification par 92 pays. Mais il
est au Maroc qui sera attirée sur la feuille de route pour l'avenir
'' durable '' de la planète.
Voici les principaux points de l'accord de Paris (Cop 21) atteint en
Décembre 2015 195 pays et qui entrera en vigueur après sa
ratification par au moins 55 pays, 55% des fabricants d'émissions
mondiales. L'accord a été ratifié par les Etats-Unis et la Chine,
qui produisent ensemble 38% des émissions de C02 dans le monde. Avec
les États-Unis et la Chine monte à 23 le nombre de pays qui ont
ratifié l'accord.
réchauffement de la planète. Article 2 de l'Accord énonce l'objectif
de rester «bien en deçà de 2 degrés au-dessus des niveaux
pré-industriels", avec un engagement à «poursuivre les efforts
visant à limiter l'augmentation de 1,5 degrés ».
objectif à long terme pour les émissions. L'article 3 prévoit que l'objectif
des pays pour atteindre le pic des émissions de gaz à effet de serre
le plus tôt possible, "et continue" des réductions rapides après que
le temps "pour arriver à" un équilibre entre les émissions provenant
des activités humaines et des absorptions effet de serre dans la
seconde moitié de ce siècle ».
engagements nationaux et d'audit. Conformément à l'article 4, tous
les pays "devront préparer, communiquer et maintenir" les
engagements définis au niveau national, avec des révisions
régulières qui «représente un pas en avant" par rapport aux
engagements antérieurs et «refléter des ambitions plus élevées
possible." Les paragraphes 23 et 24 de la décision invitent
instamment les pays qui ont soumis les entreprises à 2025 »de
communiquer un nouvel engagement d'ici à 2020, et de le faire
ensuite régulièrement tous les 5 ans", et demandent à ceux qui ont
déjà un «engagement à l'horizon 2030 ou communiquer mettre à jour en
2020 ». Le premier suivi de l'application des engagements est fixé à
2023, le prochain cycle de cinq ans sera.
Les pertes et les dommages. Article 8 de l'accord est dédié à des
fonds pour les pays vulnérables à faire face aux changements
irréversibles qui ne peuvent pas adapter, sur la base du mécanisme
signé lors Cop 19, à Varsovie, qui "pourrait être étendu ou renforcé."
Le texte "reconnaît l'importance" des mesures visant à «accroître la
compréhension, l'action et de soutien», mais il ne peut pas être
utilisé, indiqué au paragraphe 115 de la décision, en tant que «base
de toute responsabilité légale ou indemnisation."
Financement. Article 9 invite les pays développés à «fournir des
ressources financières pour aider« ceux du monde en développement ",
dans le prolongement de leurs obligations actuelles." Plus
précisément, le paragraphe 115 de la décision "demande instamment"
ces pays à établir "une feuille de route concrète pour atteindre l'objectif
de fournir ensemble 100 milliards $ par an d'ici 2020", avec
l'engagement d'augmenter "dans des fonds importants pour l'adaptation
".
Transparence. L'article 13 prévoit que, pour «créer une confiance
mutuelle» et «promouvoir la mise en œuvre" est établi "un système
élargi de transparence, avec des éléments de flexibilité, en tenant
compte des différentes capacités."
Les symptômes produits par la fièvre de la planète apparaissent avec
des preuves de plus en plus: 2016 va battre un certain nombre de
premières à chaud tous concentrés dans le début de ce siècle; la
fonte plus rapide et plus rapide des glaciers de la péninsule
antarctique est susceptible de déclencher un effet domino qui
pourrait élever le niveau de la mer de plus de 3 mètres; la
sécheresse met sur ses genoux même les zones les plus riches du
monde, comme la Californie. Mais aussi la prise en charge commence à
prendre effet: investissements dans les sources renouvelables ont
dépassé celles des combustibles fossiles; La Chine et les Etats-Unis
suivent l'Europe sur la réduction des émissions de gaz à effet de
route; en 2014 et 2015 les émissions de CO2 ont arrêté la croissance
commence à se stabiliser.
L'accord signé en Décembre 2015 Paris par 195 pays ne parviennent
pas à faire de la thérapie en temps opportun va? Pour traiter le
patient avant qu'il ne soit trop tard? Un premier signe positif
viendra avec l'entrée en vigueur du Pacte pour la stabilité du
climat. Avec une rapidité inhabituelle des parlements de 92 pays ont
déjà ratifié le projet d'installation dans l'atmosphère sécuritaire
infiniment le montant nécessaire pour faire respecter l'accord (au
moins 55 pays responsables d'au moins 55% des émissions).
Mais Erik Solheim, directeur du PNUE (Programme des Nations Unies
pour l'environnement) met en garde: «Nous avançons dans la bonne
direction: l'accord de Paris va ralentir le changement climatique,
de même que le compréhension récente de Kigali pour réduire les
hydrofluorocarbures, cependant, est pas encore assez. Si nous ne
commençons pas maintenant prendre des mesures supplémentaires, le
nombre croissant de réfugiés climatiques souffrant de la faim, la
pauvreté, la maladie et les conflits sera un rappel constant de
notre incapacité à tenir ses engagements ". Le PNUE appelle à
réduire les émissions de 25% supplémentaires prévus pour 2030 parce
que «le monde se dirige vers une augmentation de la température
entre 2,9 et 3,4 degrés ce siècle, même avec les engagements pris à
Paris".
De nombreuses pièces du puzzle climatique doivent encore se mettre
en place pour freiner vraiment le réchauffement climatique. Pour l'instant,
les engagements volontaires par les gouvernements ne peuvent pas
atteindre l'objectif de la Paris: éviter une élévation de
température de plus de 1,5 à 2 degrés au-dessus des niveaux
pré-industriels. Corrigez le cours, améliorer les engagements
économiques et accélérer le chemin est le but de la conférence
climatique de l'ONU qui ouvre à Marrakech, au Maroc.
"L'action du gouvernement est lent, mais l'évolution du marché est
les analystes surprenants pour la rapidité du changement», se
souvient Gianni Silvestrini, directeur scientifique du Kyoto Club. "Les
émissions de dioxyde de carbone aux États-Unis ont atteint les
niveaux bas depuis 25 ans: l'utilisation du charbon a été réduite
d'un tiers depuis le pic en 2007 au profit du gaz et renouvelable ».
Même en Chine, l'utilisation des combustibles fossiles plus
polluants a considérablement ralenti. Soixante grandes stations,
certaines stations étaient déjà en cours de construction, il est l'équivalent
de l'exploitation d'un des usines de charbon en Grande-Bretagne et
en Espagne. Le choix s'inscrit dans une tendance sous-jacente de
plus en plus nette. Par exemple, Pékin a promis de réduire le niveau
des gaz à effet de serre d'ici 2020, mais, selon l'ancien chef
économiste de la Banque mondiale Nicholas Stern, atteindra cet
objectif beaucoup plus tôt: le pic pourrait avoir été atteint, même
si la baisse des émissions , déterminé à la fois par la baisse de la
croissance du PIB qui a une série d'action vertueuse, résister à la
reprise économique.
Entre autres la Chine, avec le smog de la ville assiégée, est l'une
des pièces essentielles dans le développement de la voiture
électrique: les ventes explosent et la prévision est de fermer le
budget de 2016 des ventes à une altitude de 430.000 véhicules avec
le bouchon . La Norvège et les Pays-Bas ont alors commencé le
processus législatif de prendre les combustibles fossiles voiture en
2025. Et le Conseil fédéral a adopté une motion en faveur de l'interdiction
de la circulation, à partir de 2030, pour les machines pas à zéro
les émissions .
signaux nets aussi du monde de l'énergie propre, avec la baisse
continue des prix des sources d'énergie renouvelables. En 2015 dans
le monde, nous étions installés 500.000 panneaux solaires par jour
et deux éoliennes en Chine toutes les heures. Au Chili, pour une
centrale solaire il a été proposé un prix de vente égal à la moitié
de ce qui est offert dans la même course pour une centrale à charbon.
Et dans la prochaine décennie, selon les prévisions de l'Agence
internationale de l'énergie, nous aurons plus de l'électricité
produite à partir de sources renouvelables que le charbon.
"Même dans les investissements de construction évoluent vers le vert»,
ajoute Silvestrini. "Le Groupe des investisseurs institutionnels sur
le changement climatique, un réseau de 400 investisseurs qui gèrent
24.000 milliards de dollars, après la Conférence de Paris a demandé
à l'Union européenne d'introduire un engagement contraignant à
mettre en 2050 l'ensemble du parc européenne, également déjà
existant, à la consommation d'énergie tendant vers zéro. Et «il
considéré comme un investissement attractif car il en sécurité: la
garantie est donnée par les économies réalisées sur les factures d'énergie"."
2017
De sources autorisées
Selon une nouvelle étude sur les vagues de chaleur d'août dernier en
Italie, le réchauffement climatique a rendu ces événements extrêmes 4
fois plus probables au siècle dernier
La carte d'alerte météorologique émise à 14h20 heure italienne le 4 août
2017 par Meteoalarm et l'alerte rouge, orange et jaune dans le sud de
l'Europe indiquent des températures extrêmement élevées.
La possibilité qu'à l'avenir se répète des étés chauds avec des
températures bien au-dessus de la moyenne comme celle que nous venons de
vivre sera dix fois plus probable à l'avenir par rapport à 1900,
conséquence du changement climatique.
C'est la conclusion d'une étude réalisée par le World Weather
Attribution qui met en garde: en l'absence de mesures drastiques pour
contrer le réchauffement climatique, les saisons chaudes telles que 2003
ou 2017 en 2050 seront normales.
La recherche a notamment examiné les effets de la canicule du début du
mois d'août sur l'Italie, le sud-est de la France et la Croatie, un
événement extrême rebaptisé "Lucifer Heat Wave", établissant que le
changement climatique s'est multiplié par 4 la possibilité de phénomènes
similaires.
Les travaux effectués par les climatologues du World Weather Attribution
rappelle également que la portée exacte des effets en termes de dommages
à l'été torrides santé et la mortalité de la population touchée ne peut
être évaluée au cours des prochains mois, lorsque les statistiques
seront comparaison complète, mais il y a plusieurs rapports
d'augmentations des hospitalisations pour des maladies associées à la
chaleur, telles que les crises cardiaques et les brûlures, pendant les
jours avec les températures les plus élevées.
Les auteurs de l'étude dans les notes méthodologiques expliquent que,
pour évaluer l'impact du changement climatique sur les événements
individuels survenus durant l'été, les observations sur les événements
météorologiques d'août ont été comparées aux conclusions des modèles
climatiques qui prédisent le développement. du futur climat dans la
région méditerranéenne. "Ceci - expliquent-ils - permet de répondre à la
question, si et dans quelle mesure, les facteurs externes, et notamment
les changements climatiques d'origine humaine, peuvent expliquer les
données enregistrées à l'été 2017".
Le 17 novembre 2017, la vingt-troisième conférence de l'ONU sur le
climat a pris fin. Beaucoup de thèmes sur la table, et beaucoup de
nouvelles positives. Mais le temps disponible est de plus en plus rare
et si nous voulons atteindre les objectifs fixés à Paris, nous devons
être plus ambitieux. Le commentaire de Francesco Ferrante, vice-président
du Kyoto Club.
"Rien de nouveau n'a été décidé à Bonn", lit-on dans le document de
clôture de la vingt-troisième conférence de l'ONU sur le climat qui
s'est achevée le vendredi 17 novembre. Bien qu'il n'y ait pas eu de
modification à la hausse des objectifs fixés à Paris il y a deux ans, il
y a également des considérations positives à prendre en compte. Mais
beaucoup d'autres, malheureusement, négatifs.
Pendant les conférences de l'ONU sur le climat, les principaux pays du
monde sont impliqués dans la politique. L'Allemagne et la France l'ont
compris, ainsi que le mouvement des villes et des États qui s'opposent
aux choix de Trump aux États-Unis. Et les Chinois l'ont compris. Seule
l'Italie semble être sourde. Le commentaire de Francesco Ferrante, vice-président
du Kyoto Club, et Roberto Della Seta, fondateur de Green Italia.
La vingt-troisième Conférence de Bonn sur le climat (COP 23) ne restera
pas dans l'histoire. Lors du sommet, les principaux pays du monde se
sont contentés de confirmer les engagements pris à Paris en 2015.
Toutefois, Angela Merkel et Emmanuel Macron sont intervenus lors du
sommet pour réitérer la nécessité de la lutte contre le changement
climatique. Un choix dicté par des raisons non seulement des politiques
environnementales et de la politique étrangère, mais aussi interne - en
particulier en ce qui concerne Merkel, aux prises avec la formation d'un
gouvernement.
En bref, les conférences sur le climat sont de la politique. Ils ont
compris non seulement Paris et Berlin, mais aussi le mouvement qui
s'oppose aux choix de Trump aux Etats-Unis. Les Chinois l'ont compris. "L'Italie,
d'un autre côté, ne le fait pas: la politique ne l'a pas fait à Bonn,
comme elle ne l'a presque jamais fait dans les conférences sur le climat
du passé".
La COP23 à Bonn, en Allemagne et en France, relance la lutte contre le
changement climatique. Silvestrini: "Nous avons besoin d'une
augmentation des objectifs de Paris".
Angela Merkel rappelle aux pays du monde l'importance des engagements
pris à Paris il y a deux ans, alors que Macron annonce la sortie du
charbon de la France d'ici 2021. Tous deux pointent le scepticisme de
Donald Trump. Silvestrini: "Définir les moyens par lesquels les
émissions sont comptabilisées".
"Le climat est un enjeu central pour le monde, une question de destin de
l'humanité". Angela Merkel l'a dit lors de la conférence périodique sur
le changement climatique (COP23) en cours à Bonn, dont la présidence est
assurée par les îles Fidji. Même dans un pays "aussi riche que
l'Allemagne", il est difficile d'atteindre les objectifs de protection
du climat, a noté Mme Merkel, mentionnant explicitement les «conflits
sociaux», pour la question de la «durabilité des prix de l'énergie» et
la «question des emplois». de travail "dans un pays qui fait un grand
usage du charbon. Compte tenu des consultations, toujours en cours
depuis fin octobre, pour la formation du gouvernement, Mme Merkel n'a
pas annoncé de nouvelles mesures spécifiques, mais a rappelé
l'importance de l'Accord de Paris et a réitéré les engagements déjà pris.
"Ils doivent suivre les faits", a déclaré Mme Merkel, annonçant le
versement de 100 millions d'euros aux pays en développement pour les
aider à produire de l'énergie alternative. Et il a conclu que "l'Europe
est consciente de sa responsabilité".
Pendant ce temps, le président français Emmanuel Macron indique 2021
comme l'année limite pour la sortie de la France du charbon. Le
propriétaire de l'Elysée a alors annoncé que lors du sommet de la
capitale française du 12 décembre, qu'il souhaitait vivement, "les
premiers résultats concrets" de l'accord devront être faits.
Berlin et Paris soulignent le scepticisme du président américain Donald
Trump. "J'espère que l'engagement des Etats européens pourra équilibrer
la sortie américaine de l'accord de Paris", a déclaré le président
français, espérant que "l'effort" des Etats et villes américains
pourrait "remplacer" le rôle de Washington.
« La conférence sur le charbon à Bonn Etats-Unis ont organisé entre de
nombreux différends », a déclaré Gianni Silvestrini, directeur
scientifique de Kyoto Club des microphones du GR3, « mais en attendant,
Jerry Brown, gouverneur de Californie, a parlé de la réalisation
possible des 50% d'électricité renouvelable en Californie d'ici 2020 au
lieu de 2030 ". Mais que pouvez-vous retirer de la conférence de Bonn? "Surtout
le chemin qui nous conduira, dans les prochaines années, à une
augmentation des objectifs de Paris" a déclaré le directeur scientifique,
soulignant également "la nécessité de définir rapidement les moyens de
comptabiliser les émissions".
Pollution des transports, Commission européenne: réduction de 30% des
émissions d'ici 2030
La Commission propose de nouveaux objectifs pour les émissions moyennes
de CO2 de la nouvelle flotte de voitures et de véhicules propres dans
l'UE afin d'accélérer la transition vers des véhicules à émissions
faibles et nulles.
La Commission propose de nouveaux objectifs pour les émissions moyennes
de CO2 de la nouvelle flotte de voitures et de véhicules propres dans
l'UE afin d'accélérer la transition vers des véhicules à émissions
faibles et nulles.
La lutte contre le réchauffement climatique continue malgré Trump
"Promouvoir le charbon lors d'un sommet sur le climat, c'est comme
promouvoir le tabac lors d'une convention sur le cancer", a déclaré
Michael Bloomberg, l'ancien maire de New York. Mais c'est exactement ce
que Donald J.Trump a fait. Il a envoyé une équipe de diplomates
américains et de gestionnaires de l'énergie au sommet annuel sur le
climat qui s'est tenu cette année à Bonn, en Allemagne, pour renforcer
les vertus du charbon «propre».
Bloomberg, qui est aujourd'hui l'envoyé spécial de l'ONU pour le
changement climatique, a raison. Le public était ennuyé par les
intervenants lors de la présentation américaine et les a taquinés.
À un moment donné, les gens inquiets du réchauffement de la planète se
demandaient si le gouvernement américain oserait défier le lobby des
combustibles fossiles à la maison. Aujourd'hui, les négationnistes du
changement climatique sont au gouvernement aux États-Unis. Mais
peut-être que ce n'est pas si grave.
Les raisons sont diverses. Le premier est que l'utilisation du charbon à
l'échelle mondiale est en forte baisse, étant donné que le coût des
énergies renouvelables s'est effondré. Il n'est tout simplement plus
compétitif et, cette année, la Chine et l'Inde ont annulé des projets de
construction de centaines de nouvelles centrales au charbon. Même aux
États-Unis, la part de l'électricité issue du charbon a chuté de 51% en
2008 à 31% l'an dernier, et les sociétés charbonnières américaines font
faillite.
La deuxième raison est que la décision de Trump de sortir les Etats-Unis
de l'accord climatique de Paris de 2015 n'a eu aucun impact
international. La crainte que d'autres pays rétractent leurs efforts
s'est révélée sans fondement, et les États-Unis sont littéralement le
seul pays au monde à avoir échoué à signer le traité.
En effet, Christiana Figueres, ancienne négociatrice en chef des Nations
Unies pour le climat, avait même remercié Trump pour sa tentative de
rompre l'accord de Paris. "Cela a généré une vague sans précédent de
soutien au traité", a-t-il déclaré. "Il a renforcé le soutien mondial
pour l'action climatique, et pour cela, nous pouvons être
reconnaissants."
Trump, enfin, a été relégué aux marges par un nouveau pacte, a annoncé à
Bonn le 13 Novembre, qui rejoindront les 15 États aux États-Unis se sont
engagés dans une action climatique décisive avec les gouvernements du
Canada et du Mexique, alliance continentale il s'engagera à éliminer
progressivement l'énergie du charbon, à renforcer l'énergie propre et
les transports verts. Une grande partie de la contribution aux
réductions d'émissions que Trump avait retirées sera compensée par ces
initiatives américaines promues au niveau de l'état.
Bien sûr, il y a d'autres raisons de s'inquiéter. Je suis toujours là.
Après trois années au cours desquelles, tout en demeurant à des niveaux
élevés, les émissions de dioxyde de carbone sont restées stables, elles
ont maintenant recommencé à augmenter. Et il y avait une augmentation
inexpliquée des émissions de méthane dans les régions tropicales, et non
causée par l'utilisation de combustibles fossiles, ce qui a conduit
certains scientifiques à penser que l'un des processus de rétroaction
redoutés ont commencé à émerger.
Les effets de rétroaction sont l'épouvantail qui plane sur toute la
question du changement climatique. Vous pouvez le faire tout comme il
devrait être, de manière à diminuer progressivement les émissions, être
initiée à la fin du réchauffement de la planète juste avant que la
température globale atteint deux degrés Celsius d'augmentation, et puis
tout à coup tout le système mondial est, cependant, révèle
l'accélération . Le réchauffement déjà causé par les humains aurait pu
greffer une autre source naturelle de réchauffement que nous ne pouvons
pas arrêter.
Nous continuons à vivre dangereusement, et il n'est pas clair si nous
pouvons arrêter les émissions à temps
Le consensus parmi les scientifiques est que le risque de déclencher des
processus de rétroaction est amplifié avec l'approche de l'augmentation
de deux degrés de la température mondiale, et c'est la raison pour
laquelle tous les gouvernements ont promis de ne jamais dépasser ce
seuil . Mais il peut y avoir un déclenchement inconnu dans le système
qui peut déclencher un échauffement incontrôlable même à une température
moyenne mondiale beaucoup plus basse: tout ce processus, comme disent
les scientifiques, est «non linéaire».
Nous continuons donc à vivre dangereusement, et nous ne savons toujours
pas si nous serons en mesure d'arrêter les émissions assez rapidement
pour arrêter l'augmentation de la température dans le temps. Mais
certains changements importants devraient faciliter la réduction des
émissions: les substituts de viande, la viande créée en laboratoire, les
véhicules électriques et une nouvelle baisse rapide du prix des énergies
renouvelables telles que l'énergie solaire et l'énergie éolienne.
Aujourd'hui, il y a aussi une unité d'intention qui manquait auparavant:
la longue bataille entre les pays riches et les pays pauvres sur qui
était responsable du problème et qui devait payer était la plupart du
temps en retard. Et bien que le président chinois Xi ne se soit pas
présenté à Bonn, la Chine prend définitivement les rênes de l'effort.
Personne à Bonn n'est satisfait de la défection américaine dans la lutte
contre le changement climatique, mais la panique est revenue. Le sommet
de Bonn s'est concentré sur les règles d'évaluation du respect des
promesses faites par les différents pays en matière de réductions
d'émissions. Il a également dû imaginer comment organiser les révisions
quinquennales auxquelles les pays devront progressivement s'adapter pour
appliquer des objectifs de réduction de plus en plus ambitieux.
À la fin du sommet, le 17 novembre, il n'y aura pas d'annonces ou de
tournées nouvelles et passionnantes, mais ce n'est pas ce dont nous
avons besoin. Le grand tournant a été celui de Paris en 2015, et
l'objectif est maintenant de respecter les promesses. Jusqu'ici, tout va
bien.
Alors que lors de la conférence internationale sur le climat à Bonn, la
Commission européenne est un pas décisif dans la mise en œuvre des
engagements pris par l'UE dans le cadre de l'Accord de Paris pour une
réduction contraignante des émissions de CO2 d'au moins 40 % d'ici 2030
dans l'UE.
En vertu de la nouvelle proposition du programme de mobilité de la
Commission, les constructeurs automobiles européens auront sur le marché
d'ici 2030, une flotte qui a 30% moins d'émissions de CO2 par rapport
aux niveaux de 2021. Ils sont également fournis, entre autres, la «
introduction d'objectifs intermédiaires pour 2025 afin d'assurer que
l'objectif pour 2030 est atteint, un système d'incitations pour ceux qui
dépassent leur quota de véhicules propres et des pénalités pour les
constructeurs automobiles égal à 95 euros par gramme au-dessus des
limites d'émissions chaque véhicule.
Miguel Arias Cañete, commissaire chargé de l'action pour le climat et de
l'énergie, a déclaré: "La course mondiale pour le développement de
voitures propres a commencé et ne peut être arrêtée. Cependant, l'Europe
doit suivre le rythme si elle veut diriger et guider ce changement
global. Nous devons identifier des cibles et des incitations
appropriées, et c'est ce que nous faisons avec ces mesures d'émissions
de CO2 pour les voitures particulières et les véhicules légers. Nous
avons des objectifs ambitieux, mais ils peuvent être mis en œuvre et ont
un excellent rapport coût-bénéfice.Les investissements vont déjà
commencer maintenant pour les objectifs intermédiaires de 2025. Avec les
objectifs 2030, nous allons donner de la stabilité et des conseils pour
assurer leur maintenance. Aujourd'hui, nous investissons en Europe et
réduisons la pollution pour respecter l'engagement pris avec l'accord de
Paris de réduire les émissions d'au moins 40% d'ici 2030."L'
unique espoir concret pour fonder, défendre et tuteler la Démocratie Écologiquereste la Charte Mondiale Constitutionelle, sinon avec la notre mère
la Terre nous enterrerons aussi toutes les utopies !
2019
Toujours en
2019, la liste des catastrophes environnementales dans tous les pays de
la Terre liées au changement climatique s'allonge avec une liste encore
plus dramatique de victimes et de dégâts désormais incalculables. Les
médias, bien qu’ils aient abondamment documenté les événements
désastreux, n’ont pas affecté les puissants du monde qui ignorent encore
l’urgence.
Conséquence:
rien n'a été fait à la Cop25 de Madrid, l'accord de Paris sera sauvé en
2020
La conférence
des Nations Unies sur le climat à Madrid n'a pas atteint l'objectif de
parvenir à un accord sur la réduction de zéro émission de gaz à effet de
serre d'ici 2050. Dans six mois, une nouvelle réunion à Bonn, puis la
Cop26 de novembre 2020 à Glasgow. Le Pape a demandé dans un message aux
participants de ne pas manquer une fois de plus "l'opportunité de
préserver la maison commune" L'extension de 48 heures par rapport à
l'achèvement escompté des travaux n'a pas été utile, ce qui a en fait
fait de Madrid l'une des plus longues de toutes les éditions: la Cop25
n'a pas répondu aux attentes la veille. Les quelque 200 pays
participants ont signalé le "besoin urgent" d'agir contre le
réchauffement climatique, mais sans parvenir à un accord substantiel.
Celui espéré également par le pape François qui, dans un message, avait
écrit aux participants sans cacher son regret d'une volonté politique
insuffisante pour suivre la croissance de l'attention et de la
sensibilité face à la nécessité de transformer le modèle de
développement actuel.
Pas d'accord
substantiel
Après douze
jours de négociations et deux jours supplémentaires pour trouver une
position commune, aucun accord n'a donc pu être trouvé. Le tout reporté
d'au moins six mois, à Bonn, quand il y aura une nouvelle rencontre qui
débouchera ensuite sur la nomination cruciale en novembre, avec le Cop26
à Glasgow. Parmi les questions les plus conflictuelles abordées lors de
la conférence des Nations Unies, l'article 6 de l'accord de Paris sur
les règles destinées à réguler les marchés internationaux du carbone. Le
seul succès de Madrid concerne l'engagement des pays riches à indiquer
leur contribution nationale au climat au cours de la prochaine année.
Les pays vulnérables, victimes d'événements météorologiques extrêmes
(comme les petites îles du Pacifique), ont obtenu que les pays les plus
riches indiquent d'ici l'an prochain combien leurs engagements vont
augmenter d'ici 2030 pour réduire les gaz à effet de serre, à l'origine
de la réchauffement climatique. Lors de la Cop26 de novembre 2020 à
Glasgow, aucun pays ne pourra contourner cet engagement.
Guterres:
"Déçu, mais je n'abandonne pas"
Dans une
interview accordée au journal La Stampa et à VaticanNews, le secrétaire
général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est dit "déçu", déclarant que "la
communauté internationale a perdu une occasion importante de montrer
plus d'ambition" pour faire face à la crise de le changement climatique.
"Nous n'avons pas à abandonner et je n'abandonnerai pas", a-t-il ajouté.
Dans le discours inaugural de Cop25, Guterres avait souligné à quel
point l'humanité est à la croisée des chemins. "D'ici la fin de la
prochaine décennie, nous serons sur l'un des deux chemins: l'un est le
chemin de la reddition, sur lequel nous avons marché dormant au-delà du
point de non-retour, mettant en danger - dit-il - la santé et la
sécurité de tous sur cette planète . Voulons-nous vraiment qu'on se
souvienne de nous comme de la génération qui s'est caché la tête dans le
sable, qui a calé pendant que la planète était en feu? L'autre est le
chemin de l'espoir. Un chemin de détermination, de solutions durables.
Une voie - a ajouté Guterres - dans laquelle tous les combustibles
fossiles restent là où ils devraient être, sous terre, et où nous serons
bien avancés pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050 ".
Le message du
pape
Le 4 décembre,
le Pape a envoyé un message aux participants à la conférence, les
invitant à ne pas manquer cette occasion de "préserver notre maison
commune". François a ensuite regretté le retard avec lequel la
communauté internationale est confrontée au changement climatique,
défini par le Saint-Père "comme l'un des principaux défis de
l'humanité". Dans le cinquième chapitre de l'encyclique Laudato, le Pape
a remis en cause la politique internationale, sans ménager un jugement
sévère aux leaders mondiaux de l'environnement qui, ces dernières
années, "n'ont pas répondu aux attentes" d'un "manque de décision
politique" ». Bien sûr, explique-t-il, "l'Église ne prétend pas définir
des questions scientifiques, ni remplacer la politique", mais
l'exhortation est en tout cas "à un débat honnête et transparent, car
les besoins ou les idéologies ne nuisent pas au bien commun". Enfin,
pour revenir au message du Pape aux participants à la Cop25 de Madrid,
la référence aux jeunes sur lesquels la tâche de s'attaquer aux
problèmes causés par les générations précédentes ne doit pas tomber
devrait être significative. Au lieu de cela, il faut "leur donner
l'occasion de se souvenir de notre génération comme celle qui a
renouvelé et agi - avec une conscience honnête, responsable et
courageuse - sur le besoin fondamental de collaborer afin de préserver
et de cultiver notre maison commune".
"Trop
d'irresponsabilité"
Malgré les
appels du Saint-Père, l'irresponsabilité de la classe politique est un
fait. Ceci est un résumé du commentaire d'Andrea Masullo, directeur
scientifique de Greenaccord, après que rien n'ait été fait à la Cop25 de
Madrid. Masullo souligne que ce qui a été établi à Paris il y a quatre
ans a été ignoré, soulignant en particulier la fracture entre les
connaissances scientifiques et répandues. "Le message doit être transmis
- dit-il - que le changement climatique ne peut être arrêté par aucun
mur, un typhon ne présente pas de visa". "Les effets déjà enregistrés -
conclut-il - sont inférieurs à ce qui se passera dans le futur", sans
changement brusque de vitesse.
2020
Changement climatique -
Cop26 à Glasgow du 1er au 12 novembre 2021 Le Bureau de la Conférence
des Parties de la CCNUCC (Convention-cadre des Nations Unies sur les
changements climatiques), avec les gouvernements britannique et italien,
ont convenu de nouvelles dates pour la prochaine COP26, qui se tiendra à
Glasgow du 1er au 12 novembre 2021. La décision a été prise après des
consultations avec les pays membres de la CCNUCC. Les nouvelles dates
permettent aux gouvernements britannique et italien de placer l'action
climatique au centre des travaux du G7 et du G20, dont ils assureront
respectivement la présidence l'année prochaine. La décision sur les
nouvelles dates intervient alors que le gouvernement britannique a
annoncé que plus de 25 experts dans diverses questions mondiales
assisteront la présidence de la COP26. Ces "Amis de la COP" apporteront
l'expertise de pays de six continents, dont la France, la Barbade, le
Tchad, l'Australie, l'Inde et le Pérou. Des experts aideront le
gouvernement britannique et inspireront leurs secteurs avant la
conférence. Parmi les "Amis de la COP" figurent Selwin Hart, Conseiller
spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour l'action
climatique, Eric Garcetti, maire de Los Angeles et Sharan Burrow,
secrétaire générale de la Confédération syndicale internationale. Le
ministre italien de l'Environnement, du Territoire et de la Protection
de la mer, Sergio Costa, a déclaré: «Je suis heureux que les
consultations avec les parties aient permis de convenir collectivement
et rapidement des nouvelles dates de la COP26. Les nouvelles dates
signifient que la conférence se tiendra lorsque la tragédie de Covid 19
sera derrière nous et que nous pourrons garantir l'inclusion, ce qui est
pour nous une condition préalable fondamentale à une COP26 ambitieuse
basée sur un engagement mondial à l'action. D'ici novembre 2021, nous
profiterons de toutes les opportunités internationales pour accroître
l'ambition et la mobilisation, y compris la présidence italienne du G20
et la présidence britannique du G7 ". Le président de la Cop26 et
ministre britannique des Affaires, de l'Énergie et de la Stratégie
industrielle, Alok Sharma, a déclaré: «Alors que nous nous concentrons
sur la lutte contre la crise des coronavirus, nous ne devons pas perdre
de vue le grand défi du changement climatique. Maintenant que nous avons
fixé les nouvelles dates de la COP26, nous pouvons travailler avec nos
partenaires internationaux sur l'ambitieuse feuille de route d'action
mondiale pour le climat d'ici novembre 2021. Les mesures que nous
prenons pour reconstruire nos économies auront un impact profond sur la
durabilité. la résilience et le bien-être de nos sociétés futures et la
COP26 peuvent être l'occasion pour le monde de se rassembler au nom
d'une reprise propre et résiliente. Chacun devra accroître ses ambitions
pour lutter contre le changement climatique et l'expertise des «Amis de
la COP» contribuera à stimuler l'action climatique dans le monde ».
Carolina Schmidt Zaldívar, présidente de la COP25 et ministre chilienne
de l’environnement, a déclaré: «Il est très important de continuer à
faire pression pour une action climatique et le fait d’être rapidement
convenu de nouvelles dates pour la COP26 est un signe d’engagement.
Alors que les sessions des organes subsidiaires ont été reportées du 4
au 12 octobre 2020, le travail des parties et des parties prenantes se
poursuivra par le biais de réunions virtuelles comme le prochain «Momentum
de juin». L'urgence avec laquelle les gouvernements et la manière dont
les pays encouragent la reprise après la crise de Covid 19 affectera
directement les crises mondiales que nous traversons, comme celles du
réchauffement climatique et du changement climatique. C'est pourquoi
nous continuerons à mobiliser tous les acteurs. Nous avons besoin de
plus d'ambition pour réduire les émissions, renforcer la résilience et
coopérer ». La Secrétaire exécutive de la CCNUCC, Patricia Espinosa, a
déclaré: «Nos efforts pour lutter contre le changement climatique et
Covid 19 ne s'excluent pas mutuellement. Si elle est bien gérée, la
sortie de la crise de Covid 19 peut nous guider vers un engagement
climatique plus inclusif et durable. Nous rendons hommage à ceux que
nous avons perdus à cause de Covid 19 en travaillant avec un engagement
renouvelé et en continuant à faire preuve de leadership et de
détermination dans la lutte contre le changement climatique et la
construction d'une manière sûre, propre, juste et résiliente ". Pour plus
d'informations: https://www.minambiente.it/pagina/verso-la-cop26-con
ferenza-preparatoria-ed-evento-giovani-youth4climate-driving-ambition